avez-voUs déJà entendu paRler Du principe de l'unicIté ?
l'idée de Base eSt assez Simpliste, il existerait une COnscience Dans le multIvers qui serait la SOurce du tout, qui créerait le tout. le grand un.
que cette coNscience diSparaisSe, Et l'uNivers eNtier s'effondre avec ellE. Mais a qui appartient cette conscience ? une divinité ? nUllemenT, il s'agit de celle d'Un simPle mortel, peut-être votre voisin, ou votre meilleuR amI, votre pire ennemi ?
... ou qui SaiT, la votRe ?
mais alors les divINiTés dans tout ça, un simpLe mortel leuR seraIt supérieur ? dans la réalité, probablEment, mais Comme l'Individu lui même n'A Pas l'assurance d'être la source du tout, il est fort probable qu'il suive de lui même le chemin de sa vie comme n'importe quel mortel, se soumettant lui aussi aux règles du multiverS y comprIs donc aux divinités.
comment ? vous ne comPRenneZ toujoUrs pas ?
je deveLoppe Quelque peu en ce cas pour faire comprendre cette idée.
là, actuellement, est-il possible quE vous soYEz en train de rêver ? de rêver votre vie telle qu'il vous sEmble la vivre, de rêver aVOir eut dEs parents, des enfants, amants ou amantes, camarades. pOuvez vous êTre certain que ce que vous vivez là est réel et non un rêve très réaliste ? réaliste par rapport a quoi d'ailleur ? réaliste par rapport au rêves que vous faites la nuit quand vous rêvez que vous rêvez ? allons allons.
la vérité est qu'il n'est pas possible sauf Peut être grace a une puissantE magie( et encore) de pouvoir affirmer que ce que vous vivez est vraie et non un rêve. lE bon sens vouDrAit qu'on oublie cette idée Farfelue indémontrablE POUr ProfiTer de la vie et passer a autrE choSe sans plus attendre mais !
considérons donc l'hypothèse du rEve.
dans le rêve, seul le rêveur est réellement imPortant. tous les autres protagoNistes ne sont que Créations de l'esprit Du rêveur, même si celui cI n'en est pas foRcement conscient Dans le rêve. que le rêveur se reveille et tout l'univers du rêve s'effondre et cessE D'exister. Le rêveur peut touT AUssi bien s'imaginer servant d'une divinité, et dans le rêve octroyer tous les atributs coreSpondant a Cette entité qu'il appellera dieu, et il Y crOiRa avec ferveur car tEl est le rêve et tous d'Y cRoIRe ou noN selon l'univers du rêve.
bref, vous avez saisi cette fois ?
oN Pourrait même aller plus loIn pour aller jusqu'a affirmer que l'univers complEt ne fonctionne que Par morceaux, les morceaux utiles et nécessaire pour être integré au champ de conscience de l'indIvidu unique D'ou vient le tout.
et c'Est là aussi une chose ImpossibLe a vERifier. par exemple, prenez la personne, l'individu le plus proche de vous là maiNTenant. voUs le voyez, vous le sentez, vous lui parlerez peut être, peut être connaissez-vous son histoire. mais lorsqu'il n'est pluS dans la portée de vos perceptions, est-il encore là ? contiNue-t-il a viVRe ? oU est-il figée danS QUelqueS limbes en attendant de revenir a nouveau dans le champ de votre perception avec une nouvelle histoire en memoire pour combler le temps que dura votre séparation ?
la théorie de l'unicité considèrE Quant A elle que l'univeRs continue de tourner malgré tout, telle une constante, tant que le signe est portée par un esprit du multivers. que l'ensemble est telle une machine gnome fonctionnant idéalement, avec ses règles, peuplés d'individus différents évoluant par eux même mais que l'ensemble n'est finalement que la création d'un seul esprit qui n'en a même pas conscience lui même et qu'a la mort de cet individu, l'extinction de cette conscience ( quel que soit la forme que prendra cette extension ) l'univers entier disparaîtra.
pour ma parT, je ne peux dirE Ou affIrmer quoi que ce soit quant a la validité ou la réfutation de cette idée.
je sais juste que ce que je vit, perçoit, ressent, experimente, me semble réel, mais peut être suis-je aussi ce receptacle du grand un et que ma mort signera votre perte. une perspective finalement assez amusante dans son énormité égocentrique, jusqu'a ce qu'on vienne a penser que la perte d'untel ou untel, pourrait très bien sonner le glas du uN si c'était celui là même le receptacle, hum !