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 [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques

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Feydht

Feydht


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MessageSujet: [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques   [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques EmptyVen 16 Avr - 22:27

[ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques Sorceressdk2

*Extrait du Journal De Fëydht Rautha De Llorkh*

Mon arrivée à Port embria se passa sans encombre notable. Tentant d’abord de juger cette terre, si différente de ce que je connaissait jusqu’alors, je prit le partit de l’exploration solitaire. A Port Embria les catastrophe rythme le temps, le chaos est ici perpétuel, je vit l’explosion de la caserne des miliciens, une armée de gobelins attaqué la ville et autres accidents mineurs, Bastor ! Le gardien de la milice, le capitaine de ces mercenaires a peine sortit de la jungle, bastor qui a des couilles, bastor qui a préféré réduire la ville en cendre plutôt que de la laisser à l’ennemi. Embria est ainsi, chaotique ! La seule chose qui lui manque est une dose de mal, le grand mal et le grand chaos dans la même cités. Avec pour seule religion le chaos lui-même, le chaos revisité, renouvelé, aléatoirement dispersé. Au centre de la ville une tour de magie d’où serait propagé sur toute la citée et sur tout everneige, une zone de magie entropique si puissante qu’elle déchirerais la toile en son fondement. La Magie du Chaos ! Des états d'inhibition ! D’excitation ! États de conscience comprenant de manière non limitative, le chant, la danse, l'utilisation de la drogue, la douleur et l'orgasme !! La seule magie enseignée serait celle-ci, toute autre manière de voir serait réprimée dans la violence et le sang ! Nous modèlerons Embria à notre convenance…
Mais je m’emporte, comme toujours…

Lomidar est bien moins amusante, ces nobliaux léche bottes sont tous à la solde du duc, de ses prêtres bainites et de son champion nécromant. La ville est pourrie de l’intérieur et répand sa tyrannie à l’extérieur. Ces lois contraignantes ! Cette horribles lois ces horribles gardes loyaux ! Loyaux ! Loyaux !!! LOYAUX !! Infamies ! De leurs cerveau torturé ne peux germé qu’idée folle, la crainte du seigneur noir fait le reste. L’effrayante vérité éclate quand on sait où regarder. Le peuple ne demande qu’à se révolter contre son tyran il suffit de l’aider. Les victimes deviendront les bourreaux, tant pis pour le duc, mais je serais là quand ça arrivera et je m’en réjouirais avec plaisir et délectation sadique.

A lomidar je rencontrai un prêtre du seigneur de thanatos qui m’emmena dans sa tour, la tour des âmes tourmentés comme il l’appelait. HA ! Ai-je l’air tourmentée ? C’est moi le tourment !! Et toi petit prêtre tu ne m’arrive pas à la cheville. Dégoûtant spectacle où le prêtre, obéissant a un secret besoin de torturer, eut conscience un instant en s’attaquant à moi, qu’il ne s’attaquait pas à une humaine mais à un symbole, au symbole du mal lui-même. C’était une lutte inégale et silencieuse, où l’homme à genoux à présent, sans soucis de souiller son armure, observait de près sa victime menaçante dans sa tragique immobilité. Mais même immobile, dans l’atmosphère régnait une odeur malsaine, haleine des marais et pourriture. L’odeur, de la trahison, je vins bientôt trouver les adeptes de velsharoon qui croupissait tel des rats dans le cimetière et leur proposa de liquider le prêtre pour lui rafler sa tour. Immobile oui, mais tel un serpent ma morsure vint broyer la gorge du prêtre.

Apres la bataille ne restait qu’un veslharoonite appelé Eracanos et moi-même. Nous allions investir la tour. Mais le vieil homme était mal en point. C’était son cœur, il n’allait pas pouvoir suivre. J’allais lui faire un cadeau en échange de son obéissance. J’échangeai son cœur contre une pierre parfaite, altérant ainsi la nature même de son corps. Son cœur, encore vivant, fut rangé et caché dans la tour, sans cesser de battre pendant la durée du sort.

Tant qu'il pu jouir du cœur de pierre, eracanos bénéficia de protection magique contre les attaques physiques et magiques contre les éléments. Son rythme de guérison naturelle fut cependant réduit à sa plus simple expression. Le cœur palpitant D’eracanos resta vulnérable. S'il fut abîmé ou détruit, il mourut sur-le-champ. Quelle jouissance d’avoir droit de vie ou de mort dans le creux de sa main.
Mais eracanos disparut lui aussi, et je fus emprisonnée dans le temple de Tyr de celestia, par la traîtrise de roublard halfelin scrupuleux et fidèle à la triade. Des mois d’emprisonnement, les paladins savaient tout de moi, du démon que je prie jusqu’à mon nom en passant par mon tour de poitrine. Et le jour de mon exécution arriva. Le crapaud dans le fond de sa cellule ouvrit les paupières et regarda fixement son adversaire, un jeune prêtre de Tyr qui pensait l’avoir soumis aux lois de la ville aux strates de vertus, par une simple cage anti-magie. Le prêtre vit dans mes yeux tant de haine, de volonté mauvaise, de malédiction, qu’il soutint immédiatement ce regard avec une audace qui lui parut nécessaire, bienfaisante, salutaire, apostolique ; avec la certitude de pouvoir me faire baisser les yeux a MOI ! Selon lui cet être inférieur assez téméraire pour vouloir lire en son âme et le juger. Ainsi nous nous affrontâmes quelques instants avant qu’il ne fasse venir les gardes qui me mirent les chaînes et m’emmenèrent vers le bûcher. Dans les couloirs du temple je pu entendre « A MORT LA SORCIERE ! AU BUCHER HERETIQUE ! »

C’était parfait ! Je me sentais bien ! Que l’on me déteste ! Que l’on me haïsse ! C’était ce que je voulais ! Le monstre ne meure pas quand on le tue ! Son esprit reste a jamais ! Ses souvenirs plane encore des années après sa mort ! La seule façon de détruire un monstre est de l’accepter. Mais comment accepter un monstre tel que moi ? Je n’ai rien à craindre. Arrivé devant une fenêtre je fit mine de trébucher et me métamorphosa en fée maléfique. Avant même que ces lourdeaux de paladins ne réagissent je m’était envolé et évitant leurs épées avec ma souplesse surnaturelle je passa a travers els barreaux avant d’exploser la vitre et filer comme une flèche vers le vide de l’air, loin de la strate. Les paladins donnèrent l’alerte, un prêtre me vit sortir et lança une prière de disjonction sur moi qui fut sans effet, trois arbalétriers me visèrent alors que je volais en direction de la forêt et l’extérieur de la ville, loin de cette cité volante. Un des carreaux se planta dans mon aile et me l’arracha. Je tombais à présent comme un pierre. VITE ! Je redevint humaine un instant et me réunit se qui me restait de concentration pour me métamorphosée en fée. Mon aile était revenue mais je ne pouvais plus voler, je ne pouvais que ralentir ma chute jusque la propriété des Vaers. Arrivé sur le plancher des vaches, je me métamorphosa cette fois en araignée et grimpa dans un arbre pour y coudre un cocon de toile autour de moi que je cachai avec des feuilles et des branches. Puis je redevint humaine et attendit que me forces me reviennent.

Quand j’entendit les paladins rodé autour de moi je comprit que j’avais perdu du sang et qu’il maculais a présent l’herbe autour de moi comme une signature. Je lança en murmurant un sortilège de sanctuaire suprême et passa dans le plan de l’éther. Vous ne le voyez pas et pourtant, il se trouve juste à côté de vous. Le plan Éthéré est une dimension brumeuse, circonscrite de brouillard, coexistante avec le plan Matériel. Nuages tourbillonnants et de brumes colorées ! Je pouvais voir le plan Matériel comme à travers une fenêtre de verre tordu et piqué de givre. Je pu m’enfuir ! Sans une pièce d’or et en tenue de prisonnier, je gagnai lomidar où un velsharoonite, le propre maître d’eracanos, me soigna et me donna des vêtements. J’étais de retour. Ce fut le regard du bien qui céda ses pattes tout a coup se détendirent et restèrent raides et étirée. La gueule du bien raboteuse s’ouvrit lamentablement, souillée par ma victoire, d’une bave épaisse et grasse. Le bien avait été vaincu par le mal, et laissé là comme une pauvre dépouille de peau épaisse, racornie, sans vie, que je frappai de mon regard de braise exaltée de mon succès.
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Feydht

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MessageSujet: Re: [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques   [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques EmptyVen 16 Avr - 23:15

[ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques 051m

*Extrait Du Journal De Fëydht Rhaüta De Llorkh*
Je veux que tout ce qui existe de terreur indécise et d’angoisse malfaisante, rampe jusqu’à ce cloporte de Linzen par les ténébreuxs détours de la peur et lui serre la gorge comme une main de plomb, empêchant sa salive de passer.

Que la seule mention de mon nom fasse cesser les battements de son cœur. La terreur, l’épouvante, la hantise d’une malédiction inexplicable vienne s’abattre sur lui injustement, sans qu’il puisse comprendre pourquoi, lui labourer le cœur à petits coups raffinés comme autant d’ongles empoisonnés.

Je veux qu’il ait envie de pleurer comme l’enfant qu’il est, victime d’une aveugle malchance et qu’il ne songe ni à sangloter ni à se révolter, tant il sera désemparé par le malheur qui le poursuit.

Qu’une fatalité implacable vienne jeté sur lui son manteau noir, sans qu’il arrive à s’en libérer, étant trop lourd et trop grand, maintenu de partout par des mains invisibles qui le tendent comme un piége, le forçant lentement et pesamment à courber l’échine.

Toute la force de ma haine ne fut dirigée, contre linzen que l’espace de quelques jours, à peine un battement de cœur pour les puissances qui me surveille, quelques milliard pour moi qui suis leur servante. J’eu bientôt d’autres préoccupation que la mort du roublard, des nouvelles de la succube de mes nuits qui vint me donner la réponse de mon seigneur et maître.

Le souverain de Naratir’ n’acceptait pas de me prêter son sceptre. Zureena la succube vint me le chuchoter pendant mon sommeil et je rêva ensuite de mes désirs les plus intimes. Je rêvais de servir le prince, d’être son bras ravagé par la corruption démoniaque sur ce plan d’existence. Orcus devait penser que ma dévotion pour lui n’était pas assez puissante, je n’avais point suffisamment célébré ses attributions, qui sont Le mal, la mort, la ruine et la destruction dévergondée.

Je dois maintenant prendre les armes. La masse ensanglantée devra encore fendre les chaires et briser les os, Je m’efforcerais alors d’être à son image, sans pitié. Méprisant les vivants comme les morts-vivants, les utilisant l’un et l’autre sans aucune considération. Propageant le mal jusque dans le cœur des vertueux, j’abattrais les profiteurs. Mon cœur bouillonnant de révulsion déversera sa haine à tout instant sur les âmes pure, les hommes, les femmes, vieillard et enfants, tout opposant du seigneur ténébreux de naratir, orcus le seigneur démon souverain de Thanatos. Oh oui, je suis son chevalier noir semant la misère et la destruction.

Mon âme lui appartient. La pitié est un luxe que personne ne vaut. La souffrance et le tourment sont l'essence qui donneront le pouvoir à l'ascension du seigneur des morts vivants. Les dévots plongeront le monde dans une vague de non mort, et même les dieux périront. On dit qu'Orcus peut entendre son nom dès qu'il est prononcé, et apparaître en personne pour châtier le coupable. Je tuerais quiconque prononcera son nom devant moi sans en avoir le droit. Je propagerais la mort-vivance, la douleur, la torture et la destruction de tout ce qui est pure. Jamais je ne m’arrêterais, everneige sera un champ de bataille funeste.

[ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques Orcus

Spoiler:

Je serais sa Démoniste, je serait son bras sur le plan matériel, son chevalier noir frayant avec ses sous fifres fiélons. Je ne connaitrait ni la faiblesse ni la pitié, je n’aurais de cesse que de voir exterminé la pureté, les têtes tranchées de ses défenseurs prouveront ma dévotion à orcus, et leurs crânes accrochés à ma ceinture pour la toute grande gloire du seigneur des morts-vivants.
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MessageSujet: Re: [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques   [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques EmptyMar 20 Avr - 22:36

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MessageSujet: Re: [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques   [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques EmptyMar 20 Avr - 23:28

[ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques Moilw

*Extrait du journal de Fëydht rautha De Llorkh*
La tour des âmes tourmentée était à moi, Je commencerai par la rebaptisée L’orifice De La Terreur. Elle avait besoin d’être refondue à mon image, à l’image du seigneur de naratir’ dont je suis la servante pour l’éternité. Zureena mon amour, succube de mes nuits, je sais que tu me regarde, je sais que mes gestes sont comptabilisé. Tu ne seras pas déçue. Il existe un demi plan appelé moil. Moil était autrefois une cité état du monde de Ranais, le Monde Funèbre, une des nombreuses cité-états dévouée à l'un des dieux de la mort. Moil était vouée au culte du tout puissant prince des morts vivant le seigneur démon à qui j'ai donné ma vie et mon âme, mais lorsque les habitants se rebellèrent contre son clergé, Le seigneur dans sa colére déchira la cité et ses habitants de la surface de leur monde, les emprisonnant dans un Demi-Plan sans lumière de sa propre conception.

Maintenu à l'écart du monde, les gens de Moil furent condamnés au repos jusqu'à ce que la lumière du jour les atteigne. Abandonnée par Orcus, Moil dériva durant des millénaires incalculables, stériles et intacts, jusqu'à ce qu'elle fût découverte par la demi-liche Acererak le Dévoreur. Le mage mort-vivant pilla le Demi-Plan de sa connaissance nécromantique et transforma une bonne partie de Moil en un piège mortel et retors à l'égard de ses ennemis.

Bénéficiant des énergies négatives innées du Demi-Plan, la demi-liche utilisa Moil pour les fondations de sa Forteresse de la Conclusion, un donjon aux innombrables pièges mortels et abominations fiélonnes que certains appellent la Tombe des Horreurs. Bien que beaucoup pensent qu'Acererak est depuis longtemps parti, la liche nettoya la cité d'une grande partie de ses trésors, mais laissa d'autres quartiers entièrement intacts, soit parce qu'il n'y a rien trouvé de valeur, ou à cause des choses qui se tapissent dans les ténèbres glacials et qui devaient rester endormies - suffisamment dangereuses pour des êtres tels que lui.

Au sein du Demi-Plan, les tours élancées de Moil émergent des ténèbres telles autant de mausolées anémiques. Le terrain naturel sur lequel se trouvait la ville n'existe plus, disparu et remplacé par un froid brouillard noir qui tourbillonne le long des fondations des tours, les ancrant fermement dans le vide. Quatorze de ces tours de pierre et de métal noir sont reliées par d'élégants et fragiles ponts métalliques qui surplombent les ténèbres au-dessous, mais bien d'autres tours existent non reliées et solitaires, ou celles dont les ponts ont depuis longtemps succombé aux ravages, aux actions d'Acererak, ou d'autres étrangers. Moil attire les étudiants planaires et les chasseurs de trésors de part ses connaissances perdues, ses secrets oubliés, et ses biens abandonnés.

Mais des réminiscences du passé hantent encore la cité assombrie avec d'innombrables terreurs mort-vivantes, créatures abandonnées par Acererak, et un monstrueux amalgame d'âmes torturées connue sous le nom de Vestige.

Toutes les horreurs de Moil n'existent pas à cause des choses de jadis. Les attentions corrompues d'Orcus semblent de nouveau revenues à Moil, et un portail menant à Naratir’ existe désormais dans la Tour du Déchu. De nombreux fiélons appelés Visages ont récemment franchi le portail.

Spoiler:

Mon objectif devint bientôt clair dans mon esprit. La création d’un portail permanent dans la tour des âmes tourmentée, qui devra mener vers le demi plan de moil. Une fois le portail définitivement établi, je m’aiderais de mes ressources d’extérieurs maléfiques et autres esclaves morts vivants, soutenus par la magie, pour construire un repère digne de mes ambitions. A partir de ce repère magique, j’étendrais ma maîtrise et ma domination sur le demi plan et déverserais le mal et le chaos sur le plan matériel. Haut lieux de connaissance corruptrice et magique, le repère de moil n’aura alors de cesse que de tendre vers la grandeur et la puissance.
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