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| [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques | |
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Feydht
Nombre de messages : 58 Age : 36 Localisation : Belgium - Wallonie - Namur - Floreffe Date d'inscription : 17/11/2009
| Sujet: [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques Ven 16 Avr - 22:27 | |
| *Extrait du Journal De Fëydht Rautha De Llorkh*Mon arrivée à Port embria se passa sans encombre notable. Tentant d’abord de juger cette terre, si différente de ce que je connaissait jusqu’alors, je prit le partit de l’exploration solitaire. A Port Embria les catastrophe rythme le temps, le chaos est ici perpétuel, je vit l’explosion de la caserne des miliciens, une armée de gobelins attaqué la ville et autres accidents mineurs, Bastor ! Le gardien de la milice, le capitaine de ces mercenaires a peine sortit de la jungle, bastor qui a des couilles, bastor qui a préféré réduire la ville en cendre plutôt que de la laisser à l’ennemi. Embria est ainsi, chaotique ! La seule chose qui lui manque est une dose de mal, le grand mal et le grand chaos dans la même cités. Avec pour seule religion le chaos lui-même, le chaos revisité, renouvelé, aléatoirement dispersé. Au centre de la ville une tour de magie d’où serait propagé sur toute la citée et sur tout everneige, une zone de magie entropique si puissante qu’elle déchirerais la toile en son fondement. La Magie du Chaos ! Des états d'inhibition ! D’excitation ! États de conscience comprenant de manière non limitative, le chant, la danse, l'utilisation de la drogue, la douleur et l'orgasme !! La seule magie enseignée serait celle-ci, toute autre manière de voir serait réprimée dans la violence et le sang ! Nous modèlerons Embria à notre convenance… Mais je m’emporte, comme toujours… Lomidar est bien moins amusante, ces nobliaux léche bottes sont tous à la solde du duc, de ses prêtres bainites et de son champion nécromant. La ville est pourrie de l’intérieur et répand sa tyrannie à l’extérieur. Ces lois contraignantes ! Cette horribles lois ces horribles gardes loyaux ! Loyaux ! Loyaux !!! LOYAUX !! Infamies ! De leurs cerveau torturé ne peux germé qu’idée folle, la crainte du seigneur noir fait le reste. L’effrayante vérité éclate quand on sait où regarder. Le peuple ne demande qu’à se révolter contre son tyran il suffit de l’aider. Les victimes deviendront les bourreaux, tant pis pour le duc, mais je serais là quand ça arrivera et je m’en réjouirais avec plaisir et délectation sadique. A lomidar je rencontrai un prêtre du seigneur de thanatos qui m’emmena dans sa tour, la tour des âmes tourmentés comme il l’appelait. HA ! Ai-je l’air tourmentée ? C’est moi le tourment !! Et toi petit prêtre tu ne m’arrive pas à la cheville. Dégoûtant spectacle où le prêtre, obéissant a un secret besoin de torturer, eut conscience un instant en s’attaquant à moi, qu’il ne s’attaquait pas à une humaine mais à un symbole, au symbole du mal lui-même. C’était une lutte inégale et silencieuse, où l’homme à genoux à présent, sans soucis de souiller son armure, observait de près sa victime menaçante dans sa tragique immobilité. Mais même immobile, dans l’atmosphère régnait une odeur malsaine, haleine des marais et pourriture. L’odeur, de la trahison, je vins bientôt trouver les adeptes de velsharoon qui croupissait tel des rats dans le cimetière et leur proposa de liquider le prêtre pour lui rafler sa tour. Immobile oui, mais tel un serpent ma morsure vint broyer la gorge du prêtre. Apres la bataille ne restait qu’un veslharoonite appelé Eracanos et moi-même. Nous allions investir la tour. Mais le vieil homme était mal en point. C’était son cœur, il n’allait pas pouvoir suivre. J’allais lui faire un cadeau en échange de son obéissance. J’échangeai son cœur contre une pierre parfaite, altérant ainsi la nature même de son corps. Son cœur, encore vivant, fut rangé et caché dans la tour, sans cesser de battre pendant la durée du sort. Tant qu'il pu jouir du cœur de pierre, eracanos bénéficia de protection magique contre les attaques physiques et magiques contre les éléments. Son rythme de guérison naturelle fut cependant réduit à sa plus simple expression. Le cœur palpitant D’eracanos resta vulnérable. S'il fut abîmé ou détruit, il mourut sur-le-champ. Quelle jouissance d’avoir droit de vie ou de mort dans le creux de sa main. Mais eracanos disparut lui aussi, et je fus emprisonnée dans le temple de Tyr de celestia, par la traîtrise de roublard halfelin scrupuleux et fidèle à la triade. Des mois d’emprisonnement, les paladins savaient tout de moi, du démon que je prie jusqu’à mon nom en passant par mon tour de poitrine. Et le jour de mon exécution arriva. Le crapaud dans le fond de sa cellule ouvrit les paupières et regarda fixement son adversaire, un jeune prêtre de Tyr qui pensait l’avoir soumis aux lois de la ville aux strates de vertus, par une simple cage anti-magie. Le prêtre vit dans mes yeux tant de haine, de volonté mauvaise, de malédiction, qu’il soutint immédiatement ce regard avec une audace qui lui parut nécessaire, bienfaisante, salutaire, apostolique ; avec la certitude de pouvoir me faire baisser les yeux a MOI ! Selon lui cet être inférieur assez téméraire pour vouloir lire en son âme et le juger. Ainsi nous nous affrontâmes quelques instants avant qu’il ne fasse venir les gardes qui me mirent les chaînes et m’emmenèrent vers le bûcher. Dans les couloirs du temple je pu entendre « A MORT LA SORCIERE ! AU BUCHER HERETIQUE ! » C’était parfait ! Je me sentais bien ! Que l’on me déteste ! Que l’on me haïsse ! C’était ce que je voulais ! Le monstre ne meure pas quand on le tue ! Son esprit reste a jamais ! Ses souvenirs plane encore des années après sa mort ! La seule façon de détruire un monstre est de l’accepter. Mais comment accepter un monstre tel que moi ? Je n’ai rien à craindre. Arrivé devant une fenêtre je fit mine de trébucher et me métamorphosa en fée maléfique. Avant même que ces lourdeaux de paladins ne réagissent je m’était envolé et évitant leurs épées avec ma souplesse surnaturelle je passa a travers els barreaux avant d’exploser la vitre et filer comme une flèche vers le vide de l’air, loin de la strate. Les paladins donnèrent l’alerte, un prêtre me vit sortir et lança une prière de disjonction sur moi qui fut sans effet, trois arbalétriers me visèrent alors que je volais en direction de la forêt et l’extérieur de la ville, loin de cette cité volante. Un des carreaux se planta dans mon aile et me l’arracha. Je tombais à présent comme un pierre. VITE ! Je redevint humaine un instant et me réunit se qui me restait de concentration pour me métamorphosée en fée. Mon aile était revenue mais je ne pouvais plus voler, je ne pouvais que ralentir ma chute jusque la propriété des Vaers. Arrivé sur le plancher des vaches, je me métamorphosa cette fois en araignée et grimpa dans un arbre pour y coudre un cocon de toile autour de moi que je cachai avec des feuilles et des branches. Puis je redevint humaine et attendit que me forces me reviennent. Quand j’entendit les paladins rodé autour de moi je comprit que j’avais perdu du sang et qu’il maculais a présent l’herbe autour de moi comme une signature. Je lança en murmurant un sortilège de sanctuaire suprême et passa dans le plan de l’éther. Vous ne le voyez pas et pourtant, il se trouve juste à côté de vous. Le plan Éthéré est une dimension brumeuse, circonscrite de brouillard, coexistante avec le plan Matériel. Nuages tourbillonnants et de brumes colorées ! Je pouvais voir le plan Matériel comme à travers une fenêtre de verre tordu et piqué de givre. Je pu m’enfuir ! Sans une pièce d’or et en tenue de prisonnier, je gagnai lomidar où un velsharoonite, le propre maître d’eracanos, me soigna et me donna des vêtements. J’étais de retour. Ce fut le regard du bien qui céda ses pattes tout a coup se détendirent et restèrent raides et étirée. La gueule du bien raboteuse s’ouvrit lamentablement, souillée par ma victoire, d’une bave épaisse et grasse. Le bien avait été vaincu par le mal, et laissé là comme une pauvre dépouille de peau épaisse, racornie, sans vie, que je frappai de mon regard de braise exaltée de mon succès. | |
| | | Feydht
Nombre de messages : 58 Age : 36 Localisation : Belgium - Wallonie - Namur - Floreffe Date d'inscription : 17/11/2009
| Sujet: Re: [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques Ven 16 Avr - 23:15 | |
| *Extrait Du Journal De Fëydht Rhaüta De Llorkh*Je veux que tout ce qui existe de terreur indécise et d’angoisse malfaisante, rampe jusqu’à ce cloporte de Linzen par les ténébreuxs détours de la peur et lui serre la gorge comme une main de plomb, empêchant sa salive de passer. Que la seule mention de mon nom fasse cesser les battements de son cœur. La terreur, l’épouvante, la hantise d’une malédiction inexplicable vienne s’abattre sur lui injustement, sans qu’il puisse comprendre pourquoi, lui labourer le cœur à petits coups raffinés comme autant d’ongles empoisonnés. Je veux qu’il ait envie de pleurer comme l’enfant qu’il est, victime d’une aveugle malchance et qu’il ne songe ni à sangloter ni à se révolter, tant il sera désemparé par le malheur qui le poursuit. Qu’une fatalité implacable vienne jeté sur lui son manteau noir, sans qu’il arrive à s’en libérer, étant trop lourd et trop grand, maintenu de partout par des mains invisibles qui le tendent comme un piége, le forçant lentement et pesamment à courber l’échine. Toute la force de ma haine ne fut dirigée, contre linzen que l’espace de quelques jours, à peine un battement de cœur pour les puissances qui me surveille, quelques milliard pour moi qui suis leur servante. J’eu bientôt d’autres préoccupation que la mort du roublard, des nouvelles de la succube de mes nuits qui vint me donner la réponse de mon seigneur et maître. Le souverain de Naratir’ n’acceptait pas de me prêter son sceptre. Zureena la succube vint me le chuchoter pendant mon sommeil et je rêva ensuite de mes désirs les plus intimes. Je rêvais de servir le prince, d’être son bras ravagé par la corruption démoniaque sur ce plan d’existence. Orcus devait penser que ma dévotion pour lui n’était pas assez puissante, je n’avais point suffisamment célébré ses attributions, qui sont Le mal, la mort, la ruine et la destruction dévergondée. Je dois maintenant prendre les armes. La masse ensanglantée devra encore fendre les chaires et briser les os, Je m’efforcerais alors d’être à son image, sans pitié. Méprisant les vivants comme les morts-vivants, les utilisant l’un et l’autre sans aucune considération. Propageant le mal jusque dans le cœur des vertueux, j’abattrais les profiteurs. Mon cœur bouillonnant de révulsion déversera sa haine à tout instant sur les âmes pure, les hommes, les femmes, vieillard et enfants, tout opposant du seigneur ténébreux de naratir, orcus le seigneur démon souverain de Thanatos. Oh oui, je suis son chevalier noir semant la misère et la destruction. Mon âme lui appartient. La pitié est un luxe que personne ne vaut. La souffrance et le tourment sont l'essence qui donneront le pouvoir à l'ascension du seigneur des morts vivants. Les dévots plongeront le monde dans une vague de non mort, et même les dieux périront. On dit qu'Orcus peut entendre son nom dès qu'il est prononcé, et apparaître en personne pour châtier le coupable. Je tuerais quiconque prononcera son nom devant moi sans en avoir le droit. Je propagerais la mort-vivance, la douleur, la torture et la destruction de tout ce qui est pure. Jamais je ne m’arrêterais, everneige sera un champ de bataille funeste. - Spoiler:
- Citation :
ORCUS Orcus est un imposant prince démon, gonflé de malice, d'amertume et de mépris. Il fut assassiné et destitué à une époque où il était plutôt satisfait de la tournure plus calme que prenaient les guerres qu'il menait contre Démogorgon et Graz'zt. C'est alors qu'il se releva des morts et devint un démon mort-vivant. Il s'appela le Ténébreux pendant un certain temps, terré dans les ombres en attendant que sonne l'heure de sa vengeance. Aujourd'hui, il a réintégré sa position d'antan et élu domicile à Naratyr, la terrible cité fortifiée des Abysses sur Thanatos, la strate où il règne en maître absolu. Mais une fois encore, Orcus se trouve confronté à un combat acharné pour s'imposer face aux autres seigneurs démons. Il semblerait que l'ère où Orcus se contentait de passer tout son temps à s'engraisser en ingurgitant des larves dans son château est révolue. Désormais, il concentre toute sa haine et sa colère sur la destruction totale de ses ennemis et le développement de la misère et du chaos chez les mortels. Orcus est véritablement un démon renaissant, et il est plus effroyable et dangereux que jamais.
Il abhorre aussi bien Démogorgon que Graz'zt, en particulier pour le pouvoir dont ils jouissent l'un et l'autre, et il convoite leurs royaumes. Orcus est à la tête d'une cohorte de morts-vivants, mais aussi d'armées de démons qui ravagent les champs des Abysses qu'elles traversent. C'est très probablement parce qu'il dispose d' « attributions » identifiables, quoique abjectes, qu'Orcus est bien plus souvent vénéré comme un dieu que la plupart des autres princes démons. Si Démogorgon est peut-être plus puissant, Orcus est sûrement plus proche d'accéder à un véritable statut de divinité.
Orcus est massif, mesurant 4,50 mètres, doté d'une tête qui présente une ressemblance frappante avec celle d'un bélier, et ses jambes se terminent par des sabots fendus. Des ailes de chauve-souris viennent clore ce portrait archétypique du démon. En réalité, lorsque la plupart des gens pensent aux démons, ils ont probablement à l'esprit quelque représentation d'Orcus qu'ils ont aperçue quelque part.
Dans certaines sphères, Orcus est plus connu pour sa baguette, un artefact d'une grande puissance maléfique. Cette baguette, qui est d'ailleurs plutôt un sceptre, est faite d'obsidienne et de métal noir que domine un crâne. Elle dispose de terribles pouvoirs et constitue elle-même une arme effroyable. Le sceptre noir surmonté d'un crâne est aussi le symbole qui représente Orcus.
Les desseins d'Orcus Orcus est pour de nombreuses raisons une personnalité contradictoire. Il n'est pas vraiment enchanté par ceux dont il a la charge, les morts-vivants, pas plus qu'il n'a endossé la responsabilité de « Prince des Morts-Vivants » par dévotion ou allégeance. On pourrait même dire d'une certaine manière qu'il méprise les morts-vivants. Il n'a pour eux que du dédain et en dispose sans considération ou la moindre réflexion. Bien entendu, il honnit tout autant les vivants, puisqu'il hait et bouillonne de dégoût à l'égard de toute chose, en toutes circonstances. Il n'aspire qu'à son propre pouvoir et au déploiement de la misère et de l'anéantissement de tous les autres. De temps en temps, Orcus laisse un mortel trouver sa baguette, de manière à propager le Chaos et le Mal chez tous ceux qui habitent le plan Matériel. Ce genre de badinage ne dure cependant jamais très longtemps, un an ou deux tout au plus, avant que le prince bouffi ne commence à se languir de son artefact, qu'il préfère en général récupérer avec l'âme de celui qui l'a porté pendant cette période.
Orcus est en état de guerre constante avec ses deux rivaux : Démogorgon et Graz'zt. Il n'est en effet pas rare que des batailles opposent ses armées de morts-vivants et de démons aux hordes démoniaques de Graz'zt, qui comptent de leur côté de nombreuses autres créatures monstrueuses. Le conflit qu'il entretient avec Démogorgon se déroule sous des apparences plus discrètes, assassinat et sabotage en étant les principaux modes d'expression. On peut penser que c'est parce que leurs armées respectives sont occupées contre celles de Graz'zt que la querelle qui l'oppose à Démogorgon prend cette tournure. Il arrive néanmoins que leurs troupes se croisent sur les routes de leur combat contre Graz'zt et, dans ces cas, elles s'affrontent avec autant de cruauté que lorsqu'elles ont affaire à celles du Prince Noir.
Le culte d'Orcus Le culte d'Orcus est très répandu et bénéficie d'un suivi chez les humanoïdes qui reste sans commune mesure avec ce dont peuvent se targuer les autres princes démons. C'est surtout chez les orques, les demi-orques, les ogres et les géants que l'on trouve des adorateurs d'Orcus, ainsi que chez de nombreux humains pervertis et méprisables. Ses temples sont généralement secrets, et ses fidèles forment des sectes clandestines qui évoluent au sein de communautés par ailleurs tout à fait classiques. D'autres temples sont de terribles forteresses grouillant de morts-vivants, dont les seigneurs vicieux commettent des atrocités et mènent des guerres au nom du prince démon. Il arrive aussi parfois qu'une tribu orque entière se réclame du Prince des Morts-Vivants, et ses membres sont alors évités comme la peste, même par ceux de leur race.
Orcus exige que des sacrifices soient pratiqués lors des rituels en son honneur, et le sang comme les crânes constituent une part importante de la symbolique de son culte. Les idoles et les autels sont souvent cernés par d'immenses piles de crânes et, parfois même, érigés directement dessus. Les morts-vivants doués d'une conscience propre ne servent jamais Orcus de leur plein gré (ils préfèrent généralement vénérer Velsharoon). Cependant, de nombreux vampires, liches et autres morts-vivants se retrouvent contraints à le servir à la suite de sombres pactes ou de quelque magie coercitive. Les prêtres et fidèles les plus influents d'Orcus sont appelés les « crânes », tandis qu'on désigne les grands prêtres par le titre de « seigneurs des crânes ». Il arrive aussi fréquemment qu'un seigneur des crânes jouisse d'une telle autorité sur les adeptes d'Orcus qu'il finisse par endosser l'appellation de « roi des crânes » ou de « reine des crânes ».
Les adeptes d'Orcus ont l'habitude de parader avec des sceptres noirs surmontés de crânes, non pas pour tenter duper qui que ce soit sur le fait qu'il s'agisse là de la véritable baguette d'Orcus, mais simplement pour rappeler aux irrespectueux la terrible gloire de leur seigneur. Ils portent aussi souvent des masques en forme de crânes et des toges noires à capuches, ou des coiffes aux cornes de chèvre accompagnées de toges argentées. Les prêtres qui se réclament d'Orcus ont généralement accès aux domaines du Chaos, du Mal et de la Mort.
Je serais sa Démoniste, je serait son bras sur le plan matériel, son chevalier noir frayant avec ses sous fifres fiélons. Je ne connaitrait ni la faiblesse ni la pitié, je n’aurais de cesse que de voir exterminé la pureté, les têtes tranchées de ses défenseurs prouveront ma dévotion à orcus, et leurs crânes accrochés à ma ceinture pour la toute grande gloire du seigneur des morts-vivants. | |
| | | Feydht
Nombre de messages : 58 Age : 36 Localisation : Belgium - Wallonie - Namur - Floreffe Date d'inscription : 17/11/2009
| Sujet: Re: [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques Mar 20 Avr - 22:36 | |
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| | | Feydht
Nombre de messages : 58 Age : 36 Localisation : Belgium - Wallonie - Namur - Floreffe Date d'inscription : 17/11/2009
| Sujet: Re: [ø] La Peur Est D'essence Divine [ø] Chroniques Mar 20 Avr - 23:28 | |
| *Extrait du journal de Fëydht rautha De Llorkh*La tour des âmes tourmentée était à moi, Je commencerai par la rebaptisée L’orifice De La Terreur. Elle avait besoin d’être refondue à mon image, à l’image du seigneur de naratir’ dont je suis la servante pour l’éternité. Zureena mon amour, succube de mes nuits, je sais que tu me regarde, je sais que mes gestes sont comptabilisé. Tu ne seras pas déçue. Il existe un demi plan appelé moil. Moil était autrefois une cité état du monde de Ranais, le Monde Funèbre, une des nombreuses cité-états dévouée à l'un des dieux de la mort. Moil était vouée au culte du tout puissant prince des morts vivant le seigneur démon à qui j'ai donné ma vie et mon âme, mais lorsque les habitants se rebellèrent contre son clergé, Le seigneur dans sa colére déchira la cité et ses habitants de la surface de leur monde, les emprisonnant dans un Demi-Plan sans lumière de sa propre conception. Maintenu à l'écart du monde, les gens de Moil furent condamnés au repos jusqu'à ce que la lumière du jour les atteigne. Abandonnée par Orcus, Moil dériva durant des millénaires incalculables, stériles et intacts, jusqu'à ce qu'elle fût découverte par la demi-liche Acererak le Dévoreur. Le mage mort-vivant pilla le Demi-Plan de sa connaissance nécromantique et transforma une bonne partie de Moil en un piège mortel et retors à l'égard de ses ennemis. Bénéficiant des énergies négatives innées du Demi-Plan, la demi-liche utilisa Moil pour les fondations de sa Forteresse de la Conclusion, un donjon aux innombrables pièges mortels et abominations fiélonnes que certains appellent la Tombe des Horreurs. Bien que beaucoup pensent qu'Acererak est depuis longtemps parti, la liche nettoya la cité d'une grande partie de ses trésors, mais laissa d'autres quartiers entièrement intacts, soit parce qu'il n'y a rien trouvé de valeur, ou à cause des choses qui se tapissent dans les ténèbres glacials et qui devaient rester endormies - suffisamment dangereuses pour des êtres tels que lui. Au sein du Demi-Plan, les tours élancées de Moil émergent des ténèbres telles autant de mausolées anémiques. Le terrain naturel sur lequel se trouvait la ville n'existe plus, disparu et remplacé par un froid brouillard noir qui tourbillonne le long des fondations des tours, les ancrant fermement dans le vide. Quatorze de ces tours de pierre et de métal noir sont reliées par d'élégants et fragiles ponts métalliques qui surplombent les ténèbres au-dessous, mais bien d'autres tours existent non reliées et solitaires, ou celles dont les ponts ont depuis longtemps succombé aux ravages, aux actions d'Acererak, ou d'autres étrangers. Moil attire les étudiants planaires et les chasseurs de trésors de part ses connaissances perdues, ses secrets oubliés, et ses biens abandonnés. Mais des réminiscences du passé hantent encore la cité assombrie avec d'innombrables terreurs mort-vivantes, créatures abandonnées par Acererak, et un monstrueux amalgame d'âmes torturées connue sous le nom de Vestige. Toutes les horreurs de Moil n'existent pas à cause des choses de jadis. Les attentions corrompues d'Orcus semblent de nouveau revenues à Moil, et un portail menant à Naratir’ existe désormais dans la Tour du Déchu. De nombreux fiélons appelés Visages ont récemment franchi le portail. - Spoiler:
CARACTÉRISTIQUES DE MOIL Moil présente les caractéristiques suivantes : Gravité normale : la gravité se comporte naturellement, comme si Moil était ancrée au sol de ce monde natal depuis longtemps mort. Passage du temps normal. Plan fini : Moil et les ténèbres qui l'entoure sont contenus dans une bulle d'espace d'environ 5 kilomètres de large. Énergie négative dominante : Les espaces sombres et le brouillard qui s'enroule entre les tours et les ponts de Moil est chargé d'énergie négative. Toute créature qui s'aventure entre les passages et les structures, en volant par exemple, subit 1d6 points de dégâts par round. À 0 point de vie ou moins, la créature s'effrite comme de la cendre. Aligné Mal modéré : Les personnages bon subissent un malus de -2 à tous leurs tests de Charisme. Magie renforcée : Tous les sorts et pouvoirs magiques de l'école Nécromancie sont améliorés (comme si le lanceur possédait le don Quintessence des sorts, mais les sorts ne requièrent pas d'emplacement de niveau supérieur). Les sorts et les pouvoirs magiques qui sont déjà améliorés ne sont pas affectés par ce bonus. Les compétences de classe qui utilisent l'énergie négative, comme le renvoi ou le contrôle des morts-vivants, gagnent un bonus de +10 pour déterminer le nombre de DV affecté. Magie affaiblie : Tout les sorts de la branche Conjuration (guérison) voient leur efficacité réduite, les guérisons ne soignent seulement que la moitié de leur capacité habituelle.
PROPRIÉTÉS DE MOIL Plongée dans un royaume stérile sans soleil, la température de Moil oscille perpétuellement juste en dessous du gel, rendant la cité dangereuse pour les intrus pauvrement préparés au froid (voir GdM p304 pour les dangers dus au froid). Vu que le royaume possède de forts liens avec la mort et les morts-vivants, tous les morts-vivants dans Moil obtiennent un bonus de +4 contre le renvoi. De plus, toute créature corporelle vivante qui meurt au sein de Moil a 80% de chance d'être relevée spontanément en tant que squelette ou zombie, 1d3 rounds après sa mort.
Mon objectif devint bientôt clair dans mon esprit. La création d’un portail permanent dans la tour des âmes tourmentée, qui devra mener vers le demi plan de moil. Une fois le portail définitivement établi, je m’aiderais de mes ressources d’extérieurs maléfiques et autres esclaves morts vivants, soutenus par la magie, pour construire un repère digne de mes ambitions. A partir de ce repère magique, j’étendrais ma maîtrise et ma domination sur le demi plan et déverserais le mal et le chaos sur le plan matériel. Haut lieux de connaissance corruptrice et magique, le repère de moil n’aura alors de cesse que de tendre vers la grandeur et la puissance. | |
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