Les coeurs saignent

Lenda dans sa chambre regarde la femme face a elle. Elle arette de jouer et laisse son esprit vagabonder attendant les prochaines indications.

Dragon immense fascinant et terrifiant. L'on abeau savoir que ceux là sont bénéfique il n'empeche que rien que leur grandeur est effrayante.
Et lorsque sa gueule c'est approchée de moi par les dieux j'ai cru défaillir sous la caresse de son souffle magique.

Quelques mots quelques notes nouvelles, non encore pas ca. La femme face a elle se concentre a nouveau sur ce qu'il manque.

Nous avons encore travaillé durant des heures, parfois je me demande si l'on ne perd pas notre temps. Avec tous ses évènement. Je ne sais pas quoi penser de ce chien, ai je bien fait de le laisser a cet inconnu, sur le coup ca m'a parru une bonne idée. Mais s'il s'en était mal occupé, il va falloir que je cherche.

A peine entrée en ville les bruit de bataille au dehors et les cris de panique c'étaient fait entendre. Peu après les premiers réfugiés arrivaient, puis des combatant blessé, mais aucun de ceux qu'elle savait encore dehors.
Personne ne prend le temps de fermer les porte de la ville alors elle en profite, un sort d'invisibilité et la voilà dehors au milieu des combats.
Certains s'en sortent très bien dansant une valse mobide en chageant souvent de partenaire. D'autre s'en sortent très mal, comme Lomir.
Ni une ni deux lorsqu'elle le voit tombé elle s'approche de lui et le tire a l'abrit de la caravanne. Doucement avec le moins de bruits possible elle chante incantant des sorts desoin bien loin de réussir a rétablir completement l'elfe. Une acalmie dans les combats elle lui dit de renter a l'abri en ville mais pas assez rapidement, deux énorme rocher s'acrase jusqu'a leur coté, un eclat gros comme le point la frappe au torse.
Ils rentre s'abriter rapidement.
Il refuse de se faire soigner au temple, oui mais non, puisqu'il ne veut pas y aller seul ils se feront soigner ensemble. Et la voila devant la pretresse a accepter les soins, que l'autre accepte aussi.
Ils restent dans le temple a discuter, se reposer, et puis d'un coup elle s'effondre.

.....


Au milieu des malades l'on a pu voir une demie elfe, Vêtue d'un manteau blanc comme la neige, souillé de taches rouge sang. Ses yeux sont fermés, son visage encadré de mèches blondes tout juste ondulées, lui donne l'air appaisée.
Il se dit qu'elle fut l'une des première a être prise en charge par les pretres Dans le temple au moment du malaise.
Qu'a son reveil elle serait resté au temple, chantant par moment mais très brievement, emplissant alors le temple de chant aidant les plus faible a se rétablir, leur donnant courage et persévérance.
Et contant certaines histoires aux enfants accompagnant des parents parfois bien mal en point.

(sauf contreindication dm^^)

Encore tremblante par la chose lenda c'était enfermée dans sa chambre. La chaise tirée contre la porte pour la bloquer elle venait d'incanter des sorts de lumière un peu partout.

C'était quoi? Une ombre gigantesque? Encore? comme si celle qui me colle au fesses ne me suffisait pas. Elle les a croqué en deux coups.

Je ne pourrais pas tenir la lumière indéfiniment... je ne veux plus subir. Pour ne pas subir je n'ai plus des masses de solutions. Entre un que je ne suporte pas et l'autre qui va vouloir e changer ce n'est pas gagné, mais il faut que j'apprenne a les maitriser...

Une porte claque dans la pension la femme fait un bond et incante un nouveau sort de lumière.

Bordel...

Au beau milieu de la nuit, sur le petit balcon d'une des suites du manoir de port embria, une silhouette enveloppée d'un manteau blanc est accoudée à la barrière. Ses cheveux laissé libres s'envolent au rythme du vent, son regard se porte sur la ville ou ce qu'il en reste.

Un nouveau chemin a essayer, peut être une impasse encore, peut être pas, je ne m'attendais pas a tant lorsque je lui ai posé des questions, mais au final, cela a dépassé mes espérances me donnant l'impression de faire un bond en avant mais le chemin sera long encore.

Est ce beshaba qui se joue encore de moi? Voltaire... me voila a fuir ce que je dois approcher. Pourtant...

Des bruits de pas se font entendre, puis deux mains viennent lui enserrer la taille. Elle se retourne faisant un regard réprobateur a l'homme, rapidement contredit par un tendre sourire, elle le pousse résolument vers l'intérieur de la pièce et la lumière protectrice.

Ce n'est que bien longtemps après que la femme alla se renseigner à la capitainerie sur le départ de son ami.
A la pointe du ponton d'embarcadère son regard fixe l'horizon cherchant un bateau partit depuis longtemps.

Ce n'est pas ce que je voulais, quelle ingratitude pour ce que tu as fais... J'aurais tant aimé trouver un moyen, mais là je n'en ai trouvé aucun...
Tu n'imagine pas combien tu vas me manquer... Tu as bienf ais de ne pas choisir le malheur tu ne le méritais pas...Puisses tu être heureux... Merci d'avoir été là...

C'est un chant d'adieu qui s'élève alors sur la pointe du ponton de port embria, par moment grave, par d'autre leger. Il est chanté d'une voix rendue tremblante par le froid... ou autre.

https://www.youtube.com/watch?v=xi1ArEPKlu0&feature=related