[Les classes de prestige]

Généralités

L'archer-mage est souvent à la tête des troupes de guerre elfes. Sa magie rend ses dons d'archer plus redoutables encore. Sa précision presque sur­naturelle lui a permis d'acquérir une grande renommée loin de ses forêts natales. Une unité d'archers-mages suffit bien souvent à semer la terreur dans les rangs ennemis.

Seigneur des guerres elfiques, l'archer mage est un guerrier expérimenté dans l'usage de la magie pour compléter ses compétences martiales. Par delà les forêts, les archers mages ont acquis leur renommé au fil des années grâce à leur adresse surnaturelle à l'arc et leur aptitude à enchanter leurs flèches. En groupe, ils peuvent effrayer une armée entière.

Les guerriers et rôdeurs elfes entrent dans l'ordre des archers mages afin d'ajouter un peu de magie à leurs compétences de combat. A l'inverse les magiciens et ensorceleurs y trouvent un moyen d'améliorer leur capacités de combat. Les autres classes rejoignent rarement cet ordre.

Carriére

Guerriers, rôdeurs, paladins et barbares choisissent cette carrière pour ajouter un peu de magie à leurs capacités martiales. À l'inverse, magi­ciens et ensorceleurs sont parfois intéressés par cette classe de prestige car elle leur permet d'être bien plus efficaces au combat. Moines, prêtres, druides, roublards et bardes deviennent rarement archers-mages.

Classe d'origine (Souvent): Guerriers, rôdeurs, paladins, magicien, ensorceleur et barbares

Classe d'origine (Rare): Moines, prêtres, druides, roublards et bardes

Formation

L’Archer Mage est un combattant d’élite. De fait, il n’est pas voué qu’à savoir combattre et user de magie. L’Archer Mage est également un ébéniste hors paire, connaissant le bois, sachant l’ « écouter », le travailler, lui « parler »...

Son entraînement passe obligatoirement par une phase d’étude du bois, de la fabrication de flèches, et de celle des arcs. Plus il évoluera et plus on lui enseignera comment faire des arcs toujours plus performants, plus puissants, plus légers, plus fiables et robustes. Ils étudiera aussi les fléches, les différents types de fléches et leur structure.
Toute carrière commence par cet amour du bois, cette matière qui peut se montrer si noble entre de bonnes mains. Les Archers Mages ont une caractéristique en commun, ils détestent les mêlées, le chaos de la bataille...
Ils préfèrent agir discrètement et être bien sûr que le combat à mener soit juste et nécessaire. Les Elfes arche-mage rechignent à partager leurs secrets avec les plus jeunes.

Trait de vie
"Soudain une pluie de flèches s’abatis sur les bûcherons zhents, certaines explosant comme des boules de feu, d’autres poursuivant leurs cibles quoi qu’elles fassent. La clairière fut vite remplit des cadavres des membres du zhentarim, les elfes avaient une nouvelle fois protégés leur forêt"

Vision du joueur

Si l'on me demande la définition d'un archer mage, je répondrai tout de suite que ce n'est ni un archer, ni un mage, ni une simple combinaison des deux. Un archer mage, c'est plus que tout cela réuni.

Un archer mage, c'est tout d'abord un elfe, dévoué pour son peuple, ayant juré de par sa vie de servir ses frères au péril de la sienne. L'archer mage dans les communautés elfiques est le protecteur, celui qui s'inquiète pour les autres et qui veille à leur bien être. Pour l'aider dans sa tâche, il reçoit l'honneur de pouvoir apprendre un savoir particulier au peuple elfique, un savoir traditionnel.

Jadis, dans le passé, l'archer mage était l'elfe qui réussissait à unir sa propre nature à celle d'un bout de bois, son arc, afin d'éveiller l'esprit du bois et de le mêler au sien. Seuls les elfes, ou les demi elfes ayant véritablement compris leur nature elfique (et je suis bien placé pour savoir qu'ils sont extrêmement rares, voir inexistants) parvenaient à s'unir parfaitement.

Mais le savoir s'est estompé, pour disparaître doucement. Cependant, la culture est restée bien implantée et bien présente au sein des communautés elfes. En effet, afin de défendre ses frères elfes, il faut également parvenir à les comprendre et à vivre parmi eux. Ainsi, seuls les elfes sont autorisés à devenir de véritables archers mages, et à eux seuls sont enseignées les techniques du passé qui sont encore connues.

Qui plus est, notre savoir doit être protégé des races brêves, qui ne pourraient s'adapter à tant de puissance. Elles manquent par trop de jugement et de patience, s'emportant trop facilement et les poussant ainsi à utiliser tous leurs moyens là ou une simple caresse pourrait être utile. Ces actions inconsidérées et irréfléchies sont bien souvent sources des pires problèmes et des pires dégâts. Ainsi, un savoir millénaire tel que le nôtre ne peut leur être inculqué. Et il en est de même pour les demi-elfes. Leur côté humain prend trop souvent le pas sur leur bon sens elfique, et la plupart d'entre eux, voir quasi tous en fait, ne sont pas meilleurs que ceux avec lesquels ils ont été mélangés.

J'ai remarqué également que les archers mages occupaient rapidement et fréquemment des postes de commandement au sein des communautés. Se sont des chefs de guerre, des protecteurs, et des responsables. Cependant, on ne devient pas archer mage pour commander, mais on commande en devenant archer mage... C'est une conséquence de leur tâche. Tous ceux qui suivent ma voie le savent tout autant que moi, l'on vit pour servir et protéger. Tout archer doit être sûr de lui, prêt à réagir au moindre souffle de vent, en prenant toujours la bonne décision. Il doit être à l'écoute de ses frères et attentifs à leurs désirs et à leurs besoins. L'archer mage doit percevoir le monde qui l'entourre et le connaître mieux qu'il ne se connait lui même. Toutes ces facultés qu'il apprend à maîtriser le rende le plus apte à recevoir des responsabilités.
Mais bien entendu, tous ne suivent pas forcément cette voie.

J'ai rencontré également beaucoup d'archer mage d'origines bardiques se croyant être les plus purs descendant des anciens. Celà est faux, mais je ne serai pas celui qui briserai leurs rêves. Les archers mages du passé étaient issus des arcanes et spécialisés en ce domaine. C'est d'ailleurs ce qui faisait toute leur puissance, et c'est sur ces éléments que sont nées leurs légendes.
Les mages elfes du passé, ensorceleurs ou magiciens, avaient un savoir que nuls autres ne connaissaient. Ce savoir est resté dans la tradition, et s'est perpétué de génération en génération. Ne dit on pas archer mage d'ailleurs ?
Il est vrai que certains bardes prennent parfois ce chemin difficile. Mais aucun d'entre eux n'est encore entré dans la légende. Leurs pouvoirs et leurs techniques sont établis et respectés au sein des communautés, mais ils n'ont pas atteint la gloire des mages d'antant, n'ayant jamais étudié le véritable savoir et le véritable coeur de la magie.

En conclusion de ce bref exposé, je dirais simplement que quelques écrits ne peuvent définir véritablement la voie que j'ai choisie. Nous sommes au coeur de la nature elfique, épousant les principes millénaires d'une race plus que millénaire. Nous nous devons d'être les gardiens d'une culture dont les origines s'effacent dans les mémoires des peuples plus brefs, mais qui restent toujours bien présentes dans l'âme de chaque elfe de Toril.
Nous sommes la pour servir, peu important le coût. C'est un choix de vie difficile et contraignant et peu nombreux sont les apprentis capables de se faire accepter d'un maître, ceux ci analysant pointilleusement les raisons et les motivations des jeunes elfes. En effet, devenir archer mage n'est pas une bénédiction ou une glorification, mais un don total et complet de celui qui le devient.

Généralités

L’assassin est passé maître dans l'art de donner la mort d'un seul coup. Il excelle aussi dès qu'il s'agit de se déguiser ou de s'infiltrer chez l'en­nemi. Il joue souvent un rôle d'espion, d'informateur, de tueur à gages ou de vengeur. La formation qu'il reçoit en anatomie, en discrétion, en connaissance des poisons et en pratique de la magie lui permet de don­ner la mort avec une rapidité et une précision terrifiante.

Carriére

Roublards, moines et bardes sont parmi les assassins qui attendent leur proie dans l'ombre d'une ruelle tortueuse. Guerriers, anciens paladins, rôdeurs, druides et barbares deviennent plutôt des tueurs combattants, aussi doués pour éliminer leur adversaire de face que sournoisement. Enfin, magiciens, prêtres et ensorceleurs sont peut-être les assassins les plus terrifiants qui soient, car leurs sorts leur permettent d'approcher leurs cibles et de les tuer en toute impunité.

Classe d'origine (Souvent): Roublards, moines et bardes

Classe d'origine (Rare): Guerriers, anciens paladins, rôdeurs, druides et barbares

Classe d'origine (Trés rare): Magiciens, prêtres et ensorceleurs

Formation

La formation d'un assassin passe par une connaissance parfaite en anatomie, en discrétion, en connaissance des poisons et même en pratique d'un peu de magie cela lui permet de donner la mort avec une précision et une rapidité terrifiante. Certain apprennent seules les différentes techniques alors que d'autres suivent des formations aprés avoir reussi le test d'entrée d'une guilde renommée.

Technique

Les meilleurs assassins se débarassent de leur victime en quelques secondes et ne laissent derrière aucune trace compromettante de leur passage. Ils étudient parfois leur cible pendant des mois afin de connaitre par coeur chaque détails à exploiter. Leurs services sont particuliérement recherchés auprés des institutions politiques et religieuses. Peu d'assassins se soucient de l'identité de leur commanditaire. En fait, ils cherchent avant tout à remplir leur bourse en s'acquittant de missions difficiles. Si la plupart travaillent seuls, certains se regroupent sous la forme de guilde.

Trait de vie
"Non, je ne le tuerais pas, pas parce que je ne peux pas le faire, ni parce que j’ai peur de lui, mais parce que tu ne me payes pas assez’"

Vision du joueur

La forme est à mon sens ce qui doit toujours primer sur le fond. La mort ne doit pas déroger à cette règle. C’est pourquoi l’assassinat possède ses règles, ses techniques, ses secrets.

L’assassin considère toujours sa proie comme une œuvre. Il y a un travail d’ébauche préalable nécessaire. Il est important de considérer son sujet sous tous les angles, sous tous les traits de son caractère, de sa personnalité. Il est toujours important de connaître ses habitudes, ses fréquentations, de connaître ses goûts. La première des attitudes à l’égard de sa proie est l’ombre. Occulté de sa conscience, porté au-delà de ses sens, il faut observer, comme un dieu soucieux de ses créatures, les regardant évoluer.

Lorsque la proie a livré toute son âme, toute sa vie, toute son existence, l’assassin prépare son matériel, ses instruments. La nature offre une large gamme de poisons. La connaissance des plantes vénéneuses, des animaux venimeux, offre une choix considérable de moyens de donner la mort, de l’orchestrer.

Riche de la connaissance de la trame de l’existence de sa proie, le choix de l’instant devient crucial. Cet instant devient le point d’orgue, le dénouement, l’acte final de cette grande tragédie mortelle. Lorsque l’instant approche, chaque acteur est à sa place : un poison violent dans une poche, prêt à glisser sur le fil d’une lame, un piége posé sur une poignée de porte innocente, un complice avisé.

Tel un chef d’orchestre génial, chaque instrument joue sa partition au rythme de la baguette funeste pour s’achever dans l’éclat final d’un trait d’acier crever un cœur encore gonflé de vie. L’instant suspendu, sensuel, de l’amant de la mort volant d’un baiser fatal le dernier souffle la plus grande œuvre d’une vie.



Je me nomme Luka, et je suis un assassin.

C’est bien joli dit comme ça mais ça ne dit pas grand chose non plus. C’est quoi un assassin ? Quelqu’un qui tue des gens ? Au sens légal du terme, oui certainement, mais pas au sens où nous l’entendons nous. S’il suffisait de tuer des gens pour être un véritable assassin nous serions plus nombreux que les paysans, mais ce n’est pas cela, il ne suffit pas de savoir tuer pour être ce que je suis.

La méthode me direz-vous ? Non, ce n’est pas non plus la méthode qui nous caractérise. Chacun d’entre nous à sa, ou ses, propre méthode. Souvent cela découle de ce qu’il fut avant.
Certains ont des passés de guerriers, de rôdeurs ou autres, leurs méthodes sont souvent brutales et frontales, ils se basent sur leur habilité martiale. Là d’où je viens on surnommait parfois ces assassins des blitzers, ils étaient le plus souvent employés pour des meurtres de masses où primaient la violence et la capacité de destruction.
D’autres, tels que moi, ont un passé de voleur, nos méthodes à nous sont souvent basées sur notre discrétion ou notre connaissance des pièges de tous types. Nous étions surnommés les sneakers, spécialistes de l’infiltration et de l’approche de cibles précises, notre précision nous permettant souvent de tuer cette cible en quelques coups.
Les plus craint dans la profession restent les lanceurs de sorts, profanes ou divins, qu’importe, la magie offre de telles possibilités. Ils peuvent assumer presque n’importe quel type de travail, heureusement ils restent rares.
Bien sur nous avons tous quelques points communs dans nos méthodes. Nous sommes tous formés à l’usage du poison, que ce soit pour en enduire une arme ou en assaisonner un plat. De même nous avons tous des connaissances poussées en anatomies ( encore plus poussées en ce qui concerne les anciens voleurs ) qui nous permettent non seulement de frapper là où cela fait mal, mais surtout de paralyser notre cible sous l’effet de la douleur. Enfin nous avons tous l’habitude d’user de discrétion, au point que nous développons des capacités similaire à certains sorts, un jour peut-être quelqu’un expliquera-t’il pourquoi nous savons nous rendre invisibles au commun des mortels ou générer des zones d’obscurité, peut-être saurons-nous s’il s’agit de magie, des effets d’un entraînement poussé ou de simple suggestion mentale. Qu’importe pour nous, tout ce qui nous intéresse c’est que cela fonctionne.

Non, le vrai point commun est à chercher ailleurs, dans ce qui sous-tend nos actions. N’importe qui peut tuer dans le feu d’un combat, pour sauver sa vie, sous le coup de la colère, de la peur ou encore de la ferveur. Prendre une vie est à la portée de n’importe qui.
Je suis un assassin, et lorsque j’agit comme tel ce ne sont pas ces mobiles qui me guident, je ne suis pas poussé par une passion quelconque et notre art, ainsi que certains l’appellent, n’a pas sa place au milieu des combats. Certains parmi nous tuent par plaisir ( ce que j’ai toujours évité, les morts trouvent assez souvent des gens pour vouloir les venger que pour éviter de laisser des cadavres gratuits dans votre sillage ) mais la vraie caractéristique de l’assassin est de pouvoir envisager, planifier, et mettre en œuvre la mise à mort de quelqu’un. L’acte d’assassinat n’implique que cela, ôter volontairement, et à un moment choisi, la vie d’une cible précise.

Voilà ce que je suis. Un assassin. Une lame dans les ombres. Je tue sans haine, plaisir ou déplaisir, je tue parce que j’en ai les moyens et que cela me rapporte quelque chose. Mes crimes ne seront jamais absous par le moindre prêtre mais je n’en ai que faire. Tuer est ce que je fais le mieux, et me rapporte trop pour que j’arrête.

Généralités

Le chevalier noir est l'incarnation du Mal. Il sert des dieux malfaisants, des diables et des démons. Craint, et à juste titre, le paladin déchu devient lui aussi un chevalier noir est également appelé par la suite "anti-paladin". Il dirige souvent des légions de morts-vivants, d'extérieurs maléfiques ou d'autres monstres, grâce auxquels il tente de se tailler un empire ou d'agrandir les frontières de son domaine. Parfois un chevalier noir sert de lieutenant à un individu encore plus malfaisant que lui, et il arrive aussi qu'il opère seul, tueur à gage ou chevalier errant semant la mort et la destruction sur son passage.

Il incarne le mal : il se rapproche plutôt d'un démon qui a pris forme humaine que de tout autre mortel. Il a une réputation de noirceur et de vilenie totalement meritée. S'associant aux démons et servant les divinités obscures, le chevalier est haï de tous. Certains l'appellent l'anti-paladin (explication plus loin) du fait de sa nature malfaisante : son coeur ne se delecte que dans les ténèbres.

Carriére

Guerriers, paladins déchus, rôdeurs, moines, druides et barbares font de redoutables Chevaliers noirs, entièrement tournés vers l'aspect guerrier de cette classe de prestige, tandis que les bardes et les roublards qui choisissent cette carrière font plutôt ressortir ses sorts et ses aspects plus subtils. Magiciens, ensorceleurs et prêtres qui deviennent Chevaliers noirs sont souvent appelés diabolistes, car ils frayent encore plus que leurs semblables avec les fiélons.

Classe d'origine (Souvent): Guerriers, paladins déchus, rôdeurs, moines, druides et barbares

Classe d'origine (Rare): Barde et roublard

Classe d'origine (Trés rare): Magicien, ensorceleur et prêtre

Anti-paladin et chevalier noir

Il ne faut pas confondre l'anti-paladin et le chevalier noir.

Les forces du mal se sont rendu compte un jour qu'elles perdraient toujours car leurs armées ne possédaient aucune discipline. Alors fut créer l'ordre des chevaliers noirs. Des hommes au service du mal. Alors le mal se répandit. Les chevaliers noirs sont encore moins nombreux que les paladins mais leur pouvoirs sont très semblables.
Le Chevalier noir sert donc une divinité du mal ou un démon, il y est attaché et se battra jusqu'à la mort pour elle. Il en a toujours été ainsi pour le chevalier noir.

L'anti-paladin quand à lui posséde les même pouvoir que le chevalier noir. Mais il garde une particularité propre à lui. Il est le fruit de la corruption d'un paladin servant une divinité bonne par une puissance maléfique. Le paladin ainsi converti devient un chevalier noir (tout ses niveaux de paladins sont converti en chevalier noir)

Aura de despoir et aura maléfique

L'aura maléfique n'a d'autre propriété que lorsqu'on lance une détéction sur un chevalier noir. Le type de son aura est maléfique et l'intensité varie suivant ses niveaux de chevalier noir ainsi on retrouve cette aura chez les paladins sous le nom d'aura du bien. Et chez les prêtres qui dégage des auras en fonction du dieu qu'il serve. Les autres posséde aussi un aura mais beaucoup moins fort

L'aura de despoir (ne pas confondre avec aura de peur) entraine une baisse de moral chez les ennemis du chevalier noir. En jeu cela se traduit par une diminution des JS. Une baisse de moral ne signigie pas toujours la fuite. On a vu des personnes avec un faible moral sauté sur leur assaillant chevalier noir en sachant qu'il était la source de cette horrible sensation de tristesse et de tourment. D'autre s'éloigne de la source de maniére anodine.

Rituel

La plupart des cultes mauvais observe des rituels trés strict lors de l'intronisation de leur chevalier noir visant à leur confier une mission ou un role important. Ses rituels sont souvent trés dur et il n'est pas rare de voir mourrir un prétendant durant ses rituels ou il doivent prouver leur valeur, leur foi et leur cruauté.

Trait de vie
"Irradiant d’une sombre puissance, le chevalier noir posa un regard joyeux sur les cadavres qui l’entourait"

Vision du joueur

Je suis Orgauth de Mulmastre et je suis l'un des neufs , des mon plus jeune age j'ai été conditionné dans une société violente afin d'etre ce que je suis aujourd'hui , les neufs sont ma famille mes freres. De la sombre aile qui nous est dédié dans la forteresse du sombre seigneur , nous sortons que rarement. Et lorsque le cor des neufs retentit dans la vallée , la mort et la peur ne sont jamais bien loin...

Jadis j'ai été une personne comme vous , mais on a voulu faire ressortir de moi les qualités que mon maitre requiert , on a fait de moi une personne forte , courageuse , impitoyable , et loyale vis a vis de mes maitres.Je suis ce que les gens appellent un chevalier noir. Je porte sur moi le symbole de mon maitre , et comme tout les chevaliers noirs , mort a celui qui le salira en ma presence ou bien dans mon dos si l'information arrive a mes oreilles. Jadis j'ai juré fidélité a mon dieux et il m'a offert suite a mes actes quelques pouvoir afin de m'aider a répendre son nom et la peur qu'il sucitte autour de moi.Il existe beaucoups d'individus tel que moi dans les régions mais tous n'oeuvrons pas pour les memes forces les memes seigneurs.
Mais au final nous avons des valeurs tres semblables.
Au combat nous n'hésitons pas a accepté les duels , mais il nous importe de gagner , peu importe que l'enemis soit a terre , qu'il soit désarmé pendant le combat , ou qu'il soit sonné. Tout cela releve de la faiblesse , et si un etre est trop faible et qu'il a pourtant la folie de nous defier , alors c'est un idiot , et les idiots n'ont pas le droit de vivre.

Nous rechignons souvent a faire les basses taches , tuer les enfants , les femmes ordinaires , sont des choses dont nous sommes capables mais nous preferons confier ces ingrates et peu glorieuses besogne a la plebe.

Car l'honneur , la gloire , nous la trouvons au combat , dans les croisades , dans les sieges et les grand conflits , c'est la qu'investit de la force de notre dieux nous balayons en son nom les ordes impies menacant sa suprématie. Nul pitié , nul clémence , la morsure froide de l'acier de notre lame en ésperant pour lui que nous n'usions pas de notre foi pour l'accabler totalement. Nous sommes les plus valeureux guerrier que pourrons trouver les Paladins et force impie de la triade. Nous sommes des seigneurs de bétailles éduqué et au fait des us et coutumes de la chevalerie. Dans les mélées les soldats entoure nos confrontations et la victoire de l'un d'entre nous , et la mort de l'un d'entre eux peu galvaniser la soldatesque au point de renverser le conflit. Nous sommes les sombres figures qui guidons les armées qui ravagerons demain vos maisons , vos familles et vos millices. Courbez l'échine ou preparez vous a mourir.

Car je suis un chevalier noir , mon honneur est ma fierté . Nul ne s'opposes a moi , je suis le bras armé vengeur de mon maitre en ces terres.

Généralités

Il est reconnu que certains puissants dragons peuvent prendre une apparence humanoïde et avoir des amants parmi les créatures de ce type. Parfois, un enfant naît d'une telle union, et chaque descendant de cet enfant jusqu'à la millième génération possédera une once de sang de dragon, si petite soit-elle. Habituellement, ils n'en retirent aucun avantage, quoique certains ensorceleurs dotés de puissants pouvoirs magiques attribuent ces pouvoirs à leur héritage draconien. Néanmoins, pour quelques-uns d'entre eux, le sang de dragon se manifeste de façon irrépressible. D'abord surviennent les rêves. Nombreux sont ceux qui les ignorent, les considérant comme l'image de désirs inavoués (ou même comme des cauchemars), et le processus prend alors fin. Mais certains acceptent ces rêves et reconnaissent la promesse qu'ils contiennent. Ceux-là deviennent des disciples draconiens; ils utilisent leur pouvoir magique pour éveiller le sang de dragon présent en eux afin qu'il révèle tout son potentiel.

Les disciples du dragon préfèrent mener une vie d'exploration plutôt qu'une existence étroite et cloisonnée. Il s'agit d'ensorceleurs pour la plupart, mais des bardes suivent parfois cette voie. Étant déjà adeptes de la magie profane, beaucoup partent à l'aventure, dans le but en particulier d'accomplir leur quête permanente : en apprendre plus sur leur ascendance draconienne. Tous les disciples sont attirés par les régions connues pour héberger des dragons.

Classe d'origine (Souvent): Ensorceleur et barde

Transformations physiques liées aux lvl de disciple

Tout d'abord, le "reveil" qui déclenche le cycle de transformation est lié a un choc mental et physique pendant lequel le PJ prend conscience de son sang draconique et ce dernier commence à faire son apparition (il peut l'accepter ou non, on peut imaginer des PJ qui se transforment ou qu'on a forcé à subir l'Éveil , mais qui ne l'acceptent pas).

Cet éveil est déclenché au contact d'une puissante source draconique, par exemple si le pj va dans un cimetière draconique où une âme y a laissé toute sa puissance, si le PJ rencontre un dragon pure, ou, on peut imaginer aussi, si un autre PJ lui fait prendre conscience de ce qu'il est. Cet eveil est comme un rituel, un choc tres violent duquel le PJ mettra quelque temps à se remettre (suées, cauhemards et visions ailées, douleurs physiques liées à la premiere transformation du niveau 1 de disciple).

* level 1:
Lors de l'eveil, de fines écailles translucides percent telles des lames de rasoir la peau du PJ, presque invisibles, on peut remarquer certains reflets etrange en voyant le pj de pres. [armure draconique, 1 en CA]

* Level 2:
Le pj prend en musculature [ 2 en force]

* Level 3:
Son organisme draconique se reveil, la glande draco-endocrinienne fondamentale se forme dans les poumons et fait augmenter la taille de ces derniers dans la cage thoracique.
Cette glande, alimentée par l'air contenu ds ces imposants poumons, est a l'origine du souffle draconique qui passe par le larinx (le souffle dépend de la couleur)
[attaque du souffle du dragon à 2D10 pts de dégats]

* Level 4:
Le pj prend en musculature et ses bras se gonflent, ainsi que ses cuisses et son torse. [ 2 en force]

* Level 5:
Les écailles se voient un peu plus et commencent a prendre de la couleur (fonction de la couleur du dragon lié), elles se renforcent [armure draconique, 1 en CA]

* Level 6:
pas de changement majeure par rapport au level précédent.
[tire par contre plus de points de vie, 1D10]

* Level 7:
Le PJ prend une carrure plus imposante et prend un peu en taille [ 2 en constitution]
l'attaque du souffle draconique augmente en dégats [4 D10]

* Level 8:
Les écailles se renforcent encore et deviennent franchement visibles même de loin, couvrent légèrement le visage sur certaines zones (front, et haut du nez, bas des joues et cou) [armure draconique, 1 en CA]

* Level 9:
La sagesse et le savoir du sang l'envahie, il a de nouveaux sens et sa masse cérébrale augmente légèrement (de nouvelles sensations draconiques se font plus presentes (à savoir que le cerveau d'un dragon véritable ne cesse d'augmenter tout au long de sa vie, comme le reste de son corp). [ 2 en intelligence, c'est comme ça que je l'intéprete mais il peut en être autrement]
Le passage du level 8 à 9 est le plus douloureux car là intervient la transformation majeure. Lors de ce passage, avec entre autre ces nouveaux liens qui apparaissent, le PJ revit un choc profond, il devient presque inconscient tellement la douleur est forte car des ailes lui poussent, perçant la peau, de nouveaux os poussent par conséquent et les plaies mettront quelque temps à cicatriser.

* Level 10:
La peau ecailleuse est nette, d'une couleur franche (qui perdra de son éclat avec le temps et la veillesse du pj) [armure draconique, 1 en CA]
Le pj devient impressionnant physiquement, ses muscles sont saillants mais tjs proportionnés, il gagne en force et également du meme coup impressionne les gens, il prend une allure de combatant [ 4 en force et 2 en charisme]
il devient immunisé à la paralysie et au sommeil.
l'attaque du souffle draconique augmente en dégats [6D10]
son organisme est habitué à la matière qu'il souffle [immunisé à l'énergie qu'il souffle. Feu pour les rouges, acide pour les noirs, etc.]
Les yeux du PJ deviennent purement draconiques, un double crystalin apparait, un nouveau, interne, composé d'un amas de fibres musculaires transparentes qui polarise la lumière reçue, il permet également d'agrandir les détails à distance. et une couche réfléchissante leur permet de voir dans la pénombre, ce qui rend leur regard très lumineux la nuit. [vision nocturne]
Le PJ devient un demi-dragon.

* Level 11 et :
Les changements physiques sont à leur maximum.
S'en suivra une évolution avec l'âge, sa taille augmente lentement comme les dragons ainsi que sa masse cérébrale.
Ses écailles deviendront moins lumineuses avec le temps.
Un 1/2 dragon a une espérance de vie de plusieurs siecles. (entre 800 et 1000 ans) soit plus que les elfes.



Héritage draconique possible

Dragon chromatiques
Dragon noir
Dragon blanc
Dragon bleu
Dragon vert
Dragon rouge

Dragon de gemme
Dragon d'amethyste
Dragon de crystal
Dragon d'emeraude
Dragon de saphir
Dragon de topaze

Dragon asiatique
Dragon chianglung
Dragon Li lung
Dragon lung wang
Dragon pan lung
Dragon shen lung
Dragon t'ien lung
Dragon tun mi lung

Dragon metallique
Dragon de laiton
Dragon de cuivre
Dragon d'or
Dragon d'argent

Dragon rare
Dragon de bataille
Dragon brun
Dragon du chaos
Dragon des profondeurs
Dragon éthéré
Dragon hurleur
Dragon océanique
Dragon pyroclastique
Dragon radian
Dragon rouillé
Dragon d'ombre
Dragon sonore
Dragon du styx
Dragon du tartare

Citation
"Je sais maintenant pourquoi je suis si fort, dans mon sang coule un héritage draconien"
Halagazar, disciple du dragon rouge.

Généralités

Ces éclaireurs sont membres des Ménestrels, une organisation secrète visant à repousser le mal, à maintenir l'équilibre entre la civilisation et la nature. Les éclaireurs ménestrels apprennent des sorts de magie profane et de nom­breuses compétences qui les aident durant leurs missions d'espionnage et de collecte de renseignements.

Tous disposent de talents de manipulation, d'une résistance aux influences mentales extérieures, de fines facultés de per­ception et d'un don pour résoudre les problèmes. Tous les Ménestrels ne sont pas membres de cette classe de prestige. La place que l'on occupe au sein de l'organisation ne dépend pas du niveau du personnage dans quelque classe que ce soit. Cependant, la plupart des Ménestrels de marque possèdent au moins un niveau dans la classe de pres­tige d'éclaireur ménestrel.

Carrière

Nombre d'éclaireurs ménestrels sont des bardes, mais ce n'est pas le cas de tous. Rôdeurs, roublards, ensorceleurs et magiciens sont fréquents dans les rangs des éclaireurs ménestrels car ces classes proposent toute une variété de talents et une grande souplesse.

Classe d'origine (Souvent): Bardes

Classe d'origine (Rare): Rôdeurs, roublards, ensorceleurs et magiciens

Trait de vie
"L’homme était là, assis au fond de la taverne, totalement anonyme. Qui aurait pu se douter, en observant, cet homme frêle, qu’on avait affaire à un ménestrel ?"

Vision du joueur

Je suis Rose Blanche….
Un joli nom, mais bien sur ce n’est pas le vrai. On l’utilise uniquement dans l’ordre. Dans la vie de tous les jours j’ai un nom commun et mes noms elfiques.
Je suis une Ménestrel.

Qu’est ce qu’une Ménestrel ?
Moi j’errai de forets en forets, mon goût naturel pour la danse et la fête, m’ont fait approcher les villes, et leurs auberges et lieux de fêtes.
Un jour j’ai fait une rencontre, le hasard ? Je ne serai jamais. Mais sans que je me rende compte je me suis retrouver dans l’ordre.
On ne peut pas dire que j’ai été une petite sainte, mais je n’ai jamais fait de Mal. Entre l’intolérance de certains religieux et les projets glauques de criminels, j’ai toujours gardé une ligne Médiane. Un équilibre.
Un ménestrel c’est un peu ça : Une personne qui surveille que l’harmonie et l’équilibre ne soit pas rompue….
Si tu rentres dans nos rangs, il faut savoir penser aux autres et pas à toi.
J’ai le devoir de transmettre, de protéger, aider le peuple dans le quotidien comme dans les grands dangers.
Nous ne sommes pas des chevaliers sans armures, certes pas…Si il le faut nous exécutons un danger et cela par tous les moyens possibles….J’ai du sang sur les mains, mais j’assume.
Pas d’uniformes, des anonymes, servir sans espoir de reconnaissance personnel, tel est ma destiné, et j’en suis fière.
Ceux qui m’aiment et qui sont chère dans mon cœur connaissent mon identité secrète.

Certains d’entre nous dirigent des nations, d’autres sont marins, fermiers, bardes, prêtres, prostituées….
Un ménestrel est unique dans le sens qui ne ressemble à aucuns autre ménestrels…notre force est nous croyons dans l’individu.
Les Ménestrels s’enrichissent de leurs différences, le respect et la confiance sont des valeurs éternelles pour eux.
C’est pour cela que je serai toujours une Ménestrelle, car nous croyons que l’espoir d’un monde meilleur n’est pas une illusion ou farce grotesque.
Nous sommes des êtres libres qui protégeons la liberté et beaucoup des notre sont tombés …

Généralités

Les champions divin sont de puissants guerriers qui se consacrent pleinement à la cause de leur dieu, défendant les terres saintes, anéantissant les ennemis de leur Église, terrassant les créatures mythiques et supprimant les prêtres des fois opposées.
La plupart des champions divin ont des antécédents martiaux ou militaires.

Carrière

Barbares, guerriers, moines, paladins et rôdeurs constituent le plus gros des champions divins. Toutefois, certains prêtres et druides particulièrement militants décident d'emprunter la voie des champions divin. Bardes, roublards, ensorceleurs et magiciens entrent rarement dans le cercle des champions, sauf quand ils sont particulièrement pieux et doués dans l'art de la guerre.

Classe d'origine (Souvent): Barbares, guerriers, moines, paladins et rôdeurs

Classe d'origine (Rare): Prêtres et druides

Classe d'origine (Trés rare): Bardes, roublards, ensorceleurs et magiciens

Vision du joueur

Je vous expose ici ma vision du champion divin, en espérant qu'elle soit un guide pour les joueurs. Je n'ai pas la science infuse, mais ce sont les elements que j'ai observé pour cette classe de prestige.

Notions

Le mot champion divin fait appel a deux notion : la première, le champion: celui qui combattait en champs clos pour soutenir sa cause ou celle d'un autre. Qui est remarquable, de premier ordre.
la seconde divin : relatif a Dieu, ou a une divinité.
Le champion divin est un personnage qui combat en champ clos pour soutenir la cause de sa divinité. C'est un combattant remarquable.

Le champion divin est donc un combattant de premier ordre, au service d'un dieu, et qui s'est fait remarqué par la divinité qu'il sert. Le champion divin peut être, ou ne pas être affilé a l'Église de la divinité. Ceci contrairement au paladin qui est non seulement rattaché a son dieu, mais aussi rattaché a son clergé (voire même un Ordre).

PS : les classes combattantes étant : guerrier, roublard, rôdeur.

La conception technique du champion divin

Vous l'avez constaté, le champion divin, comme le paladin dispose de pouvoirs et prerogatives tres voisines : chatiment du mal/bien, imposition des mains, utilisation du divin ("puissance divine" pour le paladin et "courroux divin" pour le champion divin) etc. Or le paladin/chevalier noir d'une part et le champion divin d'autre part sont differents sur plusieurs point, qui depassent le cadre technique.

La conception détaillée du champion divin

Le champion divin demeure, tout comme le paladin/chevalier noir le bras d'une divinité. Mais cette "classe", ne se concretise pas comme un veritable choix de la part du heros. Effectivement, ne deviens pas champion divin qui veut. La divinité appelle le personnage qui a deja marqué le monde de son emprunte.

Ca peut se traduire comme ceci : un guerrier croit fermement a la puissance divine, et a agit en son nom volontairement ou involontairement pendant longtemps. De ce fait, le dieu "recompense" tant de dévotion en lui donnant des pouvoirs particuliers qui depassent largement le cadre du combattant comme expliqué ci-dessus.

Je vais prendre l'exemple de Satrec Froidelune. Ce dernier etait paladin de tyr. Personnage assez eminent, dans la mesure ou son parcours a fait de lui un personnage qui se "detache du lot" marquant ainsi une empreinte dans la region. Ce paladin perdit ses pouvoirs. Séluné etant une redemptrice, elle permit a cet ex-paladin de se mettre a nouveau au service d'une divinité. Il fut fait champion de la dame d'argent par la déesse, en récompense de ses rervices rendus par le passé. Etre champion divin, c'est agir pour son dieu. (analogie avec le paladin). Concernant l'obediance au Clergé de la dame d'argent; Satrec/Certas a choisit d'y adhérer : c'est un choix personnel, nullement une contrainte imposée par la classe "champion divin". (il avait tout interet à accepter d'ailleurs : un cadeau des dieux ne se refuse pas !)

L' attachement du champion divin a l'Eglise n'est pas une obligation, car il n'est pas soumis à la docrtine stricte de la parole sacré (incarné par l'Eglise et ses hauts représentans). Doctrine a laquelle le pretre, le paladin (ainsi que l'anti-paladin) et le chevalier noir, doivent obéir. Le Champion divin SERT les desseins de SON DIEU, pas ceux de son Clergé. Ca ne veut pas dire que la divinité boit le café tot les jours avec son champion, bien sur que non : mais il existe un lien entre le mortel sanctifié et sa divinité tutélaire.

Pour vous synthétiser grossièrement, le chevalier (guerrier d'ascendance noble) est affilié a l'Église, le champion est rattaché a la divinité. Le paladin est un mix : Le paladin comme le pretre est attaché au Dieu mais aussi a l'Église représentative de cette même divinité.


Les heaumites : un exemple parlant

Le champion divin nous l'avons vu, semble directement rattaché au dieu. Contrairement au paladin il dispose de plus de libertés, car cette voie qu'il a emprunté n'est pas une vocation. C'est plutot un cadeau de la divinité. Je m'explique. Un chevalier Heaumite qui a decidé de servir Heaum et d'entrer dans l'Ordre des portes-glaives, est soumis au code de la chevalerie et au dogme du Gardien. Il en est de meme pour le paladin. Le champion divin, quant a lui en est exempt. En effet, Ce n'est pas la haute sentinelle Alaric (equivalent du pape chez les catholiques), ni meme un pretre qui a fait de lui un champion divin : c'est la divinité. Il se rapproche de l'Elu divin, mais il n'est pas synonyme.

Bref il y a plus de champions divins que d'Elus divins....mais ca, c'est une autre histoire ..

Citation
"Torm prête-moi ta force"
Un champion s’élançant au combat.


La vision d'un joueur

Lettre d'un champion divin :

Permettez moi de me presenter, je me nomme Satrec Froidelune. Je suis un combattant maniant l'épée longue et le bouclier depuis plus d'une décennie. J'existe en tant que champion divin. Qu'est ce que c'est que ce mot barbare ?
Je suis marqué par le sceau lunaire : Séluné a fait de moi son bras armé, son instrument.

Avant de servir ses desseins, j'etais aux ordre de l'Eglise du Juste en qualité de paladin. Mon veritable nom est Certas Terensaon. Afflié au Clergé et a mon dieu, j'ai combattu les forces antagonises de tout les horizons : chevaliers noir du Gantelet, Serviteur du soleil noir, esclavagistes, demons et diables, mercenaires et combattants divers : les ennemis des paladins dans la region du val de bise sont nombreux, tres nombreux... trop nombreux.

Vous devez certainement vous demander pourquoi je fut paladin pendant plusieurs années, et comment se fait il qu'aujourd'hui je suis la, à m'exprimer en ce qui concerne ma qualité de champion de Séluné ? Pourquoi suis je passé d'une vocation toute tracée, a une voie que je n'ai pas choisie, et differente de celle du depart ?

J'ai perdu un combat contre un ennemi mortel alors que j'avais rejoins les forces coalisées du nord, au abords de Lunargent. Agonisant, je croyais etre executer et m'en aller aux royaume celeste du Juste...Je me trompais. Le paladin noir qui triompha, me donna a un etre sans foi ni loi, specialisé dans la necromancie. Il m'a livré pour une raison qui m'echappe. Peut etre etait il cyriquiste, ou un bainite devant s'acquerir d'une dette envers ce puissant necromancien : je ne saurais le dire.

La nécromancie : si il n'y avait eu que ce probleme, cela n'aurait pas été insurmontable. Mais ce magicien etait egalement un être dont la longue vie etait voué a faire des experiences, à rechercher le pouvoir, et à agrandir son clan de morts-vivants. Ce vampire vieux de près de cinq cent ans m'a détenu pendant plusieurs jours en captivité dans sa crypte humide et glaciale. Il reussit par ces tortures et expériences necromantiques, a percer les principales defenses dont j'etais pourvu par la grace de Tyr : ma faiblesse, ma perte de foi envers le dieu de la justice que j'ai servit pendant tant d'années, fut une opportunité que le vampire a saisi.

Durant l'une de mes dernieres nuits de captivité, il ordonna à "ses fils" un rituel dans le but de faire du paladin que j'etais, un des leurs : un vampire. Lorsque je revint a moi et que je decouvrit ce que j'etais devenu, le lien entre mon dieu et moi fut rompu. Mais dans mon malheur, une entité vint a moi et pour mes services rendus, elle decida de me proposer une alternative a la malediction : un début de rédemption. Cette entité, c'etait la Dame d'Argent.

Elle me benit de sa sainte lumiere depuis la nuit de ma consécration en tant que chevalier lunaire, et me guide sur les routes de la cote des épées. Depuis lors, je traque demons, diables, morts-vivants, esclavagistes, ennemis de l'Eglise et de la Déesse. Lors de ma sanctification J'ai retrouvé certaines attributions et pouvoirs analogues a mon ancien etat de paladin : je puis soigner les blessures les plus profondes, declancher le courroux lunaire, bénéficiant aussi de la defense sacrée de la lune bleu. Maniant de main experte l'épée longue comme lorsque j'etais vivant, je continue donc ma mission toutefois altérée : En effet, je me bats pour ma déesse, et non plus pour la justice de Tyr. Je propose la redemption a ceux et celle qui aspirent à être delivrer du mal.
Désormais je peux me battre à armes egales avec les engeances malefiques de la non-vie, avec un jour l'espoir de retrouver celui qui m'a inoculé cette malediction.

Je n'ai pas de comptes a rendre a l'Eglise de la dame d'Argent, dans la mesure ou j'ai été fait chevalier champion par Séluné elle-même. De ce fait je ne dépend pas du Clergé. Toutefois, il m'arrive de faire des rapports aux pretresses de la Déesse. Je ne le fais que par principe : c'est un choix, une liberté que j'ai pris, et qui ne me m'a pas fait défaut jusqu'a lors.

Je note une différence entre mon ancien etat de paladin, et mon actuel etat de champion divin : Les pouvoirs du champion divin sont moindres comparativement a celui du paladin. Cependant je conserve ma liberté par rapport a l'Eglise : apres tout, ce n'est ni un pretre ni une prêtresse qui m'a adoubé : c'est séluné qui s'est penché sur mon destin, et qui m'a baignée de sa lumiere. Qui plus est je suis devenu plus remarquable que les combattants classiques qui oeuvrent pour le culte de la Dame d'Argent.

Certains mu par leurs passions, ou bien rigides dans leur façon de penser, vont bondir d'effroi, ou de colère en lisant ce recit. D'autres moins expressifs, vont se contenter de garder un oeil observateur, critique voire neutre. Ceux qui m'ont connu par le passé savent que je suis quelqu'un de fiable, en qui on peut avoir confiance.
Je vous rassure : les champions de séluné ne sont pas tous vampires. A ma connaissance, je suis le seul de mon espèce.

Que vous dire de plus pour vous expliquer la qualité du champion divin ? non, je n'ai rien de plus a vous dire a ce sujet...En vous souhaitant une bonne nuit, et puisse la lumière de l'astre nocturne vous guider sur les chemins ardus de la vie.