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 Dénéïr [Dieu Mineur - Neutre Bon]

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Localisation : Everneige
Date d'inscription : 26/11/2009

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MessageSujet: Dénéïr [Dieu Mineur - Neutre Bon]   Dénéïr [Dieu Mineur - Neutre Bon] EmptyLun 30 Nov - 15:58

Dénéïr
Seigneur des glyphes et icône, Le scribe d'Oghma

Dénéïr [Dieu Mineur - Neutre Bon] Deneir10

Dieu mineur
Alignement : Neutre bon
Attribution : Glyphes, icône, littérature, scribes, cartographie
Domaines : Bien, Connaissance, Protection, Runes
Domaines NWN : Bien, Connaissance, Protection
Arme : Dague
Adeptes : Historiens, érudits, sages, scribes, élèves et étudiants


Citation :
Dans le domaine de l’idéal, un simple texte déverrouillera les secrets du multivers et conférera à son lecteur un statut divin. La rédaction de cette oeuvre, appelée le Texte Suprême, dévore le dieu Déneïr et ses fidèles. On dit que Déneïr, l’un des serviteurs d’Oghma, prit place parmi les dieux en entrevoyant une infime partie de ce texte et que le besoin de lire l’œuvre dans son intégralité donne un sens à son existence. Déneïr pense que le Texte Suprême se reflète dans le plan Matériel par le biais de bribes de tous les textes jamais couchés sur le papier. Un mot ici, une juxtaposition de lettres là, et (plus rarement) des phrases entières extraites d’écrits particulièrement illuminés, tout cela se fait l’écho du texte idéal. En qualité de divinité tutélaire des artistes, des enlumineurs, des cartographes et des scribes, le Seigneur de Tous les Glyphes et Icônes veille aux créations écrites, traquant désespérément le texte qui lui échappe.
L’Église de Déneïr s’attache avant tout à l’accumulation et à la consignation d’informations afin que nul texte ne soit perdu. La plupart des prêtres rédigent un journal dans lequel ils consignent leurs activités, des poèmes, des chansons et des récits entendus lors de leurs pérégrinations. Chacun fait vœu de charité, acceptant volontiers de rédiger ou de lire des lettres et de copier des informations (cela est gratuit pour les pauvres, coûte l’équivalent du matériel utilisé plus 1 pièce d’argent pour ceux qui peuvent se le permettre et le prix habituel pour les nantis). Ils apprennent aux gens du peuple à lire, mais apprennent également le don Ecriture des parchemins pour concevoir des écrits magiques. Les rédacteurs de glyphes, comme on les appelle, prient pour obtenir leurs sorts le matin. Ils conservent une copie écrite de toute lettre qui leur passe entre les mains. Le 3 Ches, chaque prêtre remet une liasse des copies les plus intéressantes au temple local. Les grands prêtres se penchent alors sur ces écrits, à la recherche du moindre indice quant au Texte Suprême. Les extraits les plus prometteurs, qui ne dépassent souvent pas un ou deux mots, sont expédiés au temple du mont du Dragon de fer, lui-même dissimulé dans les montagnes de Viteterre, pour être ajoutés au manuscrit incomplet du bibliothécaire suprême, Haliduth Orspriir. Les rédacteurs de glyphes qui se multiclassent empruntent souvent la voie des gardiens du savoir, tournant leurs singulières connaissances à leur avantage tout en pratiquant leur art.

Histoire/relations : Là où Oghma incarne l’étincelle de créativité, son scribe s’attache à la consignation des épiphanies de l’humanité. Tous deux entretiennent donc une relation symbiotique. Oghma apprécie le dévouement de Déneïr pour l’étude et la vérité. Il ne sait pas grand-chose au sujet du Texte Suprême et soupçonne son serviteur de combattre des moulins à vent en ce sens qu’il tient compte des divagations de milliers d’érudits plus ou moins sains d’esprit. Cependant, Déneïr est loin d’être fou. Sa conception de la vie (sans parler de son intérêt pour les questions magiques), quelque peu studieuse et indigeste, le rend populaire auprès de divinités de la magie comme Mystra, Azouth et surtout Savras. Lliira s’imagine pouvoir lui insuffler quelque sens de l’humour et s amuse en le mettant mal à l’aise. Ceux qui dissimulent des connaissances, comme Cyric, Shar et Mask, et ceux qui les détruisent, comme les dieux de la fureur, rendent l’affable Déneïr vert de rage.

Dogme : Les informations qui ne sont pas archivées sont perdues. Punissez ceux qui abîment ou détruisent un livre, proportionnellement à la valeur des informations perdues. L’alphabétisation est un don majeur de Déneïr favorisez son développement où que vous vous trouviez, afin qu’elle touche le cœur et l’esprit de tous les Faerûniens. Consacrez vos heures de loisir à la copie de textes, car vous diffusez ainsi le savoir et contribuez à la création du Texte Suprême. Nulle information ne saurait être cachée et tout le monde doit savoir lire pour qu’aucune langue fourchue ne puisse déformer la vérité.
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MessageSujet: Re: Dénéïr [Dieu Mineur - Neutre Bon]   Dénéïr [Dieu Mineur - Neutre Bon] EmptyLun 30 Nov - 19:50

Citation :
On trouve des prêtres de Déneïr dans totues les contrées des Royaumes Oubliés et il en va de même des temples dédiés à leur dieu. La plupart de ces édifices ressemblent davantage à des bibliothéques auxquelles on a ajouté un petit autel et quelques quartiers d’habitation, car le clergé de Déneïr s’attache d’abord et avant tout à préserver la connaissance.Les prêtres sont connus sous le nom de Déneiriens.

Même si les femmes peuvent faire partie de l’Eglise déneirienne, prêtre reste le terme consacré, quel que soit le sexe de la personne à laquelle on s’adresse. C’est la couleur de la cape arborée par les membres du clergé qui dénote leur rang, ce dernier étant par ordre d’importance :

• Aspirant
• Sous-Prêtre
• Prêtre-Aspirant
• Prêtre
• Prêtre Enlumineur
• Prêtre Calligraphe
• Prêtre Editeur
• Prêtre Secrétaire
• Prêtre Bibliothécaire
• Scribe Aspirant
• Scribe
• Haut Scribe

Il n’existe que trois rangs au-dessus de ceux-là, qui tous sont décernés par Déneïr lui-même. Il s’agit d’Ecrivain Inquisiteur (Récompense le plus haut prêtre aventuriers du clergé, Bibliothécaire et Grand Bibliothécaire.

Résumé

Dans le domaine de l’idéal, un simple texte déverrouillera les secrets du multivers et conférera à son lecteur un statut divin. La rédaction de cette oeuvre, appelée le Texte Suprême, dévore le dieu Déneïr et ses fidèles. On dit que Déneïr, l’un des serviteurs d’Oghma, prit place parmi les dieux en entrevoyant une infime partie de ce texte et que le besoin de lire l’œuvre dans son intégralité donne un sens à son existence. Déneïr pense que le Texte Suprême se reflète dans le plan Matériel par le biais de bribes de tous les textes jamais couchés sur le papier. Un mot ici, une juxtaposition de lettres là, et (plus rarement) des phrases entières extraites d’écrits particulièrement illuminés, tout cela se fait l’écho du texte idéal. En qualité de divinité tutélaire des artistes, des enlumineurs, des cartographes et des scribes, le Seigneur de Tous les Glyphes et Icônes veille aux créations écrites, traquant désespérément le texte qui lui échappe.

L’Église de Déneïr s’attache avant tout à l’accumulation et à la consignation d’informations afin que nul texte ne soit perdu. La plupart des prêtres rédigent un journal dans lequel ils consignent leurs activités, des poèmes, des chansons et des récits entendus lors de leurs pérégrinations. Chacun fait vœu de charité, acceptant volontiers de rédiger ou de lire des lettres et de copier des informations (cela est gratuit pour les pauvres, coûte l’équivalent du matériel utilisé plus 1 pièce d’argent pour ceux qui peuvent se le permettre et le prix habituel pour les nantis). Ils apprennent aux gens du peuple à lire, mais apprennent également le don Ecriture des parchemins pour concevoir des écrits magiques. Les rédacteurs de glyphes, comme on les appelle, prient pour obtenir leurs sorts le matin. Ils conservent une copie écrite de toute lettre qui leur passe entre les mains. Le 3 Ches, chaque prêtre remet une liasse des copies les plus intéressantes au temple local.

Les grands prêtres se penchent alors sur ces écrits, à la recherche du moindre indice quant au Texte Suprême. Les extraits les plus prometteurs, qui ne dépassent souvent pas un ou deux mots, sont expédiés au temple du mont du Dragon de fer, lui-même dissimulé dans les montagnes de Viteterre, pour être ajoutés au manuscrit incomplet du bibliothécaire suprême, Haliduth Orspriir.
Les rédacteurs de glyphes qui se multiclassent empruntent souvent la voie des gardiens du savoir, tournant leurs singulières connaissances à leur avantage tout en pratiquant leur art.

Histoire/relations


Là où Oghma incarne l’étincelle de créativité, son scribe s’attache à la consignation des épiphanies de l’humanité. Tous deux entretiennent donc une relation symbiotique. Oghma apprécie le dévouement de Déneïr pour l’étude et la vérité. Il ne sait pas grand-chose au sujet du Texte Suprême et soupçonne son serviteur de combattre des moulins à vent en ce sens qu’il tient compte des divagations de milliers d’érudits plus ou moins sains d’esprit. Cependant, Déneïr est loin d’être fou. Sa conception de la vie (sans parler de son intérêt pour les questions magiques), quelque peu studieuse et indigeste, le rend populaire auprès de divinités de la magie comme Mystra, Azouth et surtout Savras. Lliira s’imagine pouvoir lui insuffler quelque sens de l’humour et s amuse en le mettant mal à l’aise. Ceux qui dissimulent des connaissances, comme Cyric, Shar et Mask, et ceux qui les détruisent, comme les dieux de la fureur, rendent l’affable Déneïr vert de rage.

Dogmes

Les fidèles de Déneïr pensent que tout ce qui n’est pas écrit et conservé est perdu. Quiconque endommage ou détruit ou détruit un livre doit être condamné en fonction de la valeur du savoir perdu, à moins que celui-ci ne soit intégralement restitué. Les Déneiriens doivent tout coucher sur le papier et vouent leur temps libre à la copie de texte existants. Ils ont pour mission d’apporter un exemplaire de tout texte qu’ils ont trouvé à chaque temple de Déneïr dans lequel ils se rendent, ce pour que la connaissance se propage et que rien ne se perde.

L’accès aux écrits doit être permis à tous ceux qui savent lire, de telle manière que le mensonge ne puise tout déformer. Les Déneiriens doivent écrire ce que tout le monde dit, observe ou croit, en laissant à d’autres le soin de juger ce qui est vrai, intéressant et convenable. Tout ce qui n’est pas rédigé finit en effet par se perdre et il faut tenir compte de tous les gouts, de toutes les cultures et de tous les modes d’expression. Les textes qui ne font aucun mal doivent pouvoir être lus par tous.

Le fait de savoir lire et écrire est l’un des plus beaux cadeaux que Déneïr ait fait à l’homme. Il faut absolument le propager. C’est pour cette raison que les Déneiriens doivent apprendre à lire et écrire à minimum 10 mortels qui ne vénèrent pas leur dieu.

Les fidèles font également vœu de charité, en ce sens qu’ils s’interdisent de refuser d’écrire des lettres ou de transcrire des messages pour les autres. Si celui qui effectue cette requête est dans le besoin, on ne lui fera rien payer. Par contre, s’il est suffisamment riche, les prêtres peuvent lui demander de verser une somme en échange de leurs services. Les Déneiriens sont liés au secret professionnels pour ce qui est des textes qu’ils rédigent de la sorte.

Activités quotidiennes

La tâche principale des prêtres de Déneïr consiste à réunir et à copier le savoir et les œuvres créatrices (romans, poèmes, chanson, …) ce pour que rien ne se perde. Certains ne quittent jamais le cloitre de leur temple, tandis que d’autre font le tour des fermes isolées pour coucher sur le papier les histoires dont le vieux grand-père de la maisonnée se rappelle encore par bribes. D’autres encore préfèrent s’occuper de grandes bibliothèques prêtent des ouvrages dans les villes importantes de Sembie, ou partent à l’aventure dans les recoins inexplorés des Royaumes pour découvrir les parchemins friables qui subsistent encore dans les tombeaux oubliés.

Nombre de Féerûniens considèrent que les Déneiriens sont les scribes du peuple, en raison du vœu qu’ils font lors de leur ordination et qui veut qu’ils écrivent des lettres pour les gens ou transcrivent par écrit tout ce qu’on leur demande, du moment qu’il ne s’agit pas de copier un texte magique ou de révéler les secrets des autres. Les pauvres reçoivent ce service sans rien avoir à débourser, tandis que les gens du peuple doivent payer le papier et l’encre plus une pièce d’argent, et que les personnes aisées se voient présenter le tarif normal (4 à 8 PO par page). Les projets importants doivent être négociés au cas par ca. Dans les périodes creuses, les Déneiriens se rendent souvent dans les tavernes et autres lieux de rencontre, où ils écrivent des missives pour les illettrés. Un prêtre peut toutefois s’enrichir si on lui demande d’écrire quelques chose et de faire preuve par la suite de la plus grand discrétion. Le Prix du Scribe Silencieux est bien souvent très élevé. « La plus grand discrétion » signifie que personne n’est au courant du texte qu’a copié le prêtre en dehors du clergé de Déneïr. Les rumeurs qui prétendent que de nombreux textes secrets ont été recopiés par les Déneïriens et sont désormais conservés dans des bibliothèques secrètes sont toutes justifiées.
Ces bibliothèques peuvent prendre de multiples formes, depuis une colonne creuse ou un passage secret dans un bureau, jusqu’à de vastes souterrains ou des « tours interdites » dans les plus grands monastères et abbayes. Ces cachettes sont systématiquement protégées par des sorts, auxquels on ajoute parfois des monstres tels que des araignées de garde ou autres gardes fantômes. Les étrangers n’ont jamais accès aux textes magiques. Même si les Déneiriens refusent toujours de l’admettre, les membres les plus éminent du clergé effectuent des copies de parchemins magiques, que les temples vendent après parfois aux aventuriers, aux noobles ou aux marchands fortunés.

Enseigner à lire et à écrire est l’autre tâche primordiales des fidèles. Pour cela, ils ne demandent qu’un paiement de principe. Par contre, les prix sont nettement plus élevés pour quiconque n’est pas membre du clergé et cherche à devenir scribe, enlumineur, relieur ou parcheminier.

Festivités et cérémonies


Un seul jour est véritablement sacré pour les fidèles de Déneïr : la Rencontre-des-Boucliers, lors de laquelle les contrats sont ressortis des coffres et peuvent être examinés par tous. N’importe qui peut également profiter pour demander aux Déneiriens de recopier le texte de son choix, pour peu que ce dernier ne soit pas magique. Tout cela doit toutefois faire l’objet d’une requête très précise et ne pas être en désaccord avec le serment de confidentialités des prêtres. C’est également au cours de la Rencontre-des-Boucliers que se déroule la cérémonie du Texte Sacré, rituel pour lequel les prêtes forment un grand cercle autour d’un manuscrit en état dé lévitation. Ils lancent alors des sorts spécifiques qui, tous, font apparaître une lettre dorée sur la page, jusqu'à ce que la Parole de Déneïr soit lisible par tous.

Mais cette absence de dates sacrées ne signifie pas que les Déneiriens n’accomplissent aucune cérémonie élaborée, bien au contraire. Chaque jour, ils prient, chantent et lisent ensemble. Certains prêtres âgés disent une courte prière lorsqu’ils attaquent une page blanche ou commencent une enluminure. La plupart des fidèles en référent à leur dieu quand ils s’attèlent à une tache d’importance, comme le tracé d’une carte ou la copie de l’arbre généalogique d’une famille noble ou du livre de ballade d’un ménestrel.

Tenues

Les Déneiriens arborent toujours le symbole de leur dieu. Ils ne se déplacent jamais sans leur nécessaire d’écriture, qui permet de les repérer à coup sûr. Il s’agit d’une bourse de cuit, de forme triangulaire et nouée sur leur hanche droite, contenant papier, encres et plumes. On dit ainsi des fidèles du Seigneur des Glyphes et des Icones : « Si la maison dans laquelle se trouve un Déneïrien prends feu alors que ce dernier est dans son bain, il commencera par prendre tous les livres présents, puis son nécessaire d’écriture avant de sortir par une porte. Quand aux habits, il les laisse aux gens pudiques. Tant pour accomplir leur tâches quotidiennes que pour les grandes cérémonies, les prêtres de Déneïr portent des haut-de-chausses, une tuniques à col rigide de couleur blanche, crème ou ocre, et une cape courte connue sous le nom de tourbillonnante dans els viles de la Côte des Epées. C’est la couleur de la cape qui indique le rang du prêtre souvent du blanc, du bleu ou du jaune.

Lorsqu’ils partent à l’aventure, les clercs de Déneïr choisissent la tenue la plus en rapport avec leur mission, sans pour autant cesser d’arborer le symbole de leur dieu et leur nécessaire d’écriture.

Ordres affiliés

De même que Mystra et d’autres dieux, Déneïr possède une influence certaine sur les mystérieux Ménestrels, à tel point que l’un de ses plus grands temples, la Chambre Intérieure de Berdusk, n’est rien de plus qu’un paravent pour le Manoir d’Obscure de cette organisation secrète. L’Eglise de Déneïr n’a nul besoin de chevaliers mais elle incorpore par contre un ordre de scribe et quelques moines. Tous les scribes certifiés par le culte appartiennent à la Confrérie Lettrée et se reconnaissent par le badge qu’ils arborent.
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