Sexe : mâle
Age : 27 ans
Taille : 1m72
Poids : 70 kilos
Classe : roub/assassin
Alignement : chaotique mauvais
Race : Humain
Langues:- commun
- région natale Amn :
---> langue connue d'office : chondathan
---> langue supplémentaire : elfique
Description physique et attitude: Mon sourire se fend d’une expression penaude, je vous lorgne d’un œil subtile et audacieux.
Mon visage trahit mon ascendance amnienne , des traits racés, un bronzage doré, une musculature fine avec un léger petit bide dû sans aucun doute à un régime d’eau de vie !
Mes gestes sont maniérés, ma délicatesse est semblable à celle d’un troll, ma langue acérée témoigne d’une certaine éducation.
Je suis aussi raffiné qu’un tanaruk en manque d’appétit.
Mes cheveux d’un noir de jais cascadent sur mes épaules, un organeau en argent se trouve au majeur de ma main gauche, sertie d’une pierre... Un onyx.
Je me rase aussi périodiquement que possible, je tiens sans aucun doute à ma pilosité. Me démarquant ainsi des elfes et autre bipèdes manquant cruellement de virilité.
Je vous entends plus que je ne vous écoute, c’est là une subtilité et un art que je travaille jour après jour.
Mon code vestimentaire est aussi recherché qu’un pirate souffrant d’une maladie d’une mouette des montagnes. Malgré mes vêtements salis, j’aime afficher ma vantardise avec une bourse bien remplit !
Mon humour est très salace
Je suis bon vivant, il n’y est des choppes que je laisse remplit.
J'ai maints défauts: je suis orgueilleux, vantard, avare, égoiste, possessif, lâche, gourmand, jaloux, borné, rêveur, paresseux.. et tant d'autres!
Mes qualités ne regardent que moi mais je puis afficher la carte d'un esprit rusé.
Je me présente, je m’appelle galanas et c’est un réel plaisir d’être en votre compagnie
JournalC’est avec un profond ennuie et une sombre flemmardise que je tiens à ce jour ce journal impie !
Un homme digne d’une certaine grandeur d’âme, d’un avenir radieux se doit de tout inscrire.
La postérité de mon lignage en dépend, et il ne faut point en rire !
Je m’exalte et m’extasie de ce conte que vous allez ouïr ! oui oui !
Ma plume dansera au son de ma mélodie
Et l’encre revêtira les plus beaux atours de mon manuscrit
Que dire de mon passé ?
Ma mère a trépassé sous les coups de brigands mal chaussés
Je me rappelle encore des pétales de rose qui jonchaient le sol
Se détachant du corps sans vie de cette reine des nuées
On l’appelait Sunie, Aurile
Elle avait le don de saisir l’âme humaine
Nul besoin de chant, nul besoin de paroles
Son regard suffisait à la félicité des hommes
Elle avait reçu trois beautés
Mais aujourd’hui son visage macabre contrastait avec cette nuit étoilé
Ses traits étaient tordus d’horreur et de douleur
Me fixant avec une certaine intensité
Les brigands repartirent avec les richesses de notre maisonnée
Ils ne prirent la peine de m’assassiner
Cette matricide avait comblé leurs désirs les plus enfouis
Mon père, il serait un exploit qu’il me revienne
Semble t’il partit en quête de catins et d’aventures lubriques
Je me cantonne pour ma part à mon nid de briques
Dans une cité mal fagoté et mal lotit
Triste sort du destin ? Que de vivre sans un morceau de pain.
Recueillit à l’âge de jouvenceau par des maskarites
Ils m’apprirent les dures réalités de la vie
Mais cette gentillesse d’âme n’était point leur rite !
En effet, nous dûmes apprendre à voler et à escamoter
Pour leur octroyer le résultat de notre travail acharné et risqué
Voler n’est point aisé, c’est un art appliqué qui nécessite beaucoup de doigté
Je travaillais en compagnie d’une bande de joyeux lurons
Nous formions un petit escadron
5 galopins qui n’eurent en tête que l’ambition
Nous n’eûmes plus aucune passion
Nous étions en guerre contre la vie ainsi que la mort
Dans la célèbre métropole marchande Crimmor
Nos longues litanies de plaintes n’atteignirent personne
Nous étions des enfants du passé et du futur
Parmi les centaines de caravanes
Berceau de la civilisation des peuples d’orient
Les marchands venaient de tout horizon
C’était une terre de richesse, une terre d’espoir
Qui allaient à l’encontre de notre désespoir
Le vol était proscrit et vivement châtié, plus que dans n’importe quelle cité
Il n’était point rare de voir des voleurs pendus et torturés
C’était une festivité vivement attendu
Qui devant la foule assoiffée, les mettaient à nu
Sous le soleil aride et ce sable si irritant.
C’est ici que je me pâmai..
En Amn
Les années défilèrent
L’enfant grandit, devint grand et fort
Après de nombreuses ruades au sein de la cité
Après de nombreux rouages de coups et maints torts
Le fil de ma malédiction est enfin raguée
De désespoir bleuté, Je renais dans le liquide amniotique
Les voleurs d’ombres d’amn me formèrent à l’art de l’assassinat
Afin de faire trépasser plusieurs scélérats
Oter la vie est une nécessité
Le rôle divin incombe à ceux qui savent maitriser leur esprit face à l’adversité
Il faut être implacable et ne ressentir aucune pitié
Le jouisseur mènera le fil de sa destiné à sa propre perte
Tandis qu’un esprit posé et réfléchit vivra pour l’éternité
Ainsi on me fit cadeau d’un arc, que je nommerai frère
Mais la connaissance vint avant la pratique
Les enseignements en anatomie me permirent de déceler les points faibles de mes ennemis
Le corps possède plus de 280 points vitaux
Véritable réceptacle de faiblesses
Les coups sur ces derniers peuvent entrainer la paralysie, l’inconscience ou la mort
Selon la précision, l’angle et l’intensité du coup.
En passant de la théologie à l’anatomie, je devais également acquérir l’art profane
Un assassin maitrise certains sorts et doit s’aider de la toile
Pour faire subir à autrui son plus amer courroux.
Quel paradoxe, la vie me fit don de la vie pour que je la détruise
Non sans une pointe d’ironie !
C’est ainsi que le cycle se perpétue
Les pétales se détachent de nouveau
Voletant au gré de mes coups
Dans le silence d’un murmure
Je rejoignis deux années plus tard une caravane marchande
Suite à une boutade de ma part
Je m’exilai de cette cité
Je fis la connaissance de deux joyeux loufoques
En route pour everneige…