Les travaux avance et le moral de la cité remonte.
Mais certaines personnes ne peuvent s'empêcher de ressentir un certain malaise, se sentant épié, sans que personne ne se trouve à proximité.
Particulièrement dans les environs, parmi les réfugié, la nuit des bagarres commence l'initiateur, toujours différent, reprochant aux personnes à qui il s'en prend des faits, s'ils ont un fond de vérité, toujours déformé, comme perçu au travers d'une paranoïa galopante.
Ajouté à cela les rires qui résonnent parfois vers la forêt noir ou la forêt des grands pin, contribue à mettre les nerfs de certains à vifs qui prit pour que les travaux soient rapidement terminé et pouvoir se réfugier, à la nuit tombée, derrières les murailles de Port-Embria.