[BG Evolutif] Aendith Ellison, halfelin druide (vers métamorphe)

Aendith Ellison



Sexe : Masculin
Age : 20 (quand il part apprendre) ensuite 26-27 ans
Taille :100 cm
Poids :20 Kg
Classe :Druide (peut-être métamorphe par la suite si BG ok)
Alignement :Chaotique Neutre
Race : Halfelin
Cercle: Cercle du vent

Statistiques :
For : 12
Dex : 14
Con : 12
Sag : 16 (+4 au lvl 20)
Int : 12
Cha : 10
Langue : halfelin, commun, druidique (par la classe), sylvestre (par l’intel)

Compétences principales:

Concentration
Connaissances des Sorts
Empathie
Premiers Secours
Savoir

Description physique :

Aendith est un personnage de petite taille, de corpulence menue.
Il possède des oreilles plus pointues que la plupart des halfelins, ses yeux sont pers (bleus tirants vers le vert)
Ses traits sont marqués, on peut lire sur son visage qu’il n’a pas eu une enfance facile.
Il a les cheveux verts, on ne sait pas trop comment s’est arrivé.


Caractère :

Aendith, était à l’origine un bon vivant, qui aimait s’amuser, rigoler entre amis.
Mais un évènement tragique l’a fait devenir méfiant, à tel point qu’il n’accorde plus sa confiance aussi facilement. S’il le pouvait il ne parlerait à personne, mais il est souvent difficile de traverser le monde seul.

Partie 1 : Enfance mystérieuse

Aendith est un orphelin, enfin c’est ce qu’on pense, il a été abandonné sur le parvis d’une maisonnette de fermiers, dans une corbeille en bois, avec le nom « Aendith » gravé dessus.
Cette famille vivait dans une petite ville du nom de HauteLune non loin de la forêt de Cormanthor, à moins d’une dizaine de jours de marche de Ordulin, capitale de la Sembie.

Cette famille de fermiers, nommée famille Ellison, adopta et éleva Aendith comme leur propre fils. Ils pensaient alors que c’était un cadeau des Dieux, pour eux qui ne pouvaient concevoir d’enfants.

Aendith eu un début d’enfance paisible, allant à l’école de son village, s’amusant avec ses camarades, aidant ses parents aux tâches de familiale. Enfin sauf que il n’était pas tout à fait comme les autres, il avait des petites oreilles pointues, des cheveux verts etc. Ses parents en cessaient de lui dire que c’était parce qu’il était spécial, mais Aendith n’en croyait rien.

Je continuais de vivre paisiblement, jusqu'au jour où j'en ai eu assez.
Je devais avoir dans les 12 ans, mes amis se moquaient car je ne grandissais pas plus depuis déjà 2-3 ans, et qu'ils faisaient tous une voire deux têtes de plus que moi.
D’un pas ferme, je décidais d’aller questionner mes parents sur mes origines. Alors ils décidèrent de m’expliquer. Mais pour la différence, ils pensaient que j’était un enfant elfe (ce qui est effectivement rare d’en voir). Or effectivement, ils ont commencé à avoir des doutes sur moi du fait que je ne grandissais plus, mais ils ne savaient que répondre pour sa taille, n’étaient pas très cultivés.

Le fait que mes parents m’aient dit la vérité me toucha et ne me fit que les aimé plus.
Voulant en savoir un peu plus sur moi-même, et pensant que je devais être d’origine elfique suivant les dires de mes parents, je passais alors la plupart de mon temps libre dans la forêt du village. Etrangement je m’y sentais à l’aise, je n’avais plus de peur, plus d’angoisse.
Petit à petit, je commençais à connaitre par cœur la forêt, les différents recoins, les terriers des animaux, les nids des oiseaux, où poussaient les plantes à chaque saison. Comme si c’était inné en lui. En parlant d’animaux, ceux-ci me laissaient s’approcher d’eux, tout comme je ne craignais aucunement de les approcher.

Il s’avère d’ailleurs, qu’un jour en rentrant d’une de mes expéditions en forêt, je trouvais mon père armé d’une fourche nez-à-nez avec un sanglier qui était en train de ravager ses cultures. Les 2 se regardaient d’un air féroce, prêts à charger l’un sur l’autre, mais je vînt m’interposer entre eux. Mon père me disait de déguerpir, que c’était dangereux, mais j’en pensais le contraire. Je m’approchais de l’animal, lui caressa le groin et les défenses, m’approcha de son oreille, lui murmura cette phrase « Allez pars » et le sanglier s’exécuta. Mon père était très étonné de ce qui venait de se passer.
Mais le sanglier n’était pas parti bien loin, il s’était installé près de la ferme, comme pour la surveiller. Quand je partais en forêt, l’animal me suivait de loin. Je décidais alors de le prendre comme animal de compagnie (avec l’accord de mes parents naturellement). Là où certains ont un chien de garde, chez les Ellison, c’était un sanglier nommé Guldur.

Partie 2 : La découverte

Encore 8 ans passèrent avant que ne se produise cet évènement tragique, j’étais alors âgé de 20 ans. Le village avait reçu un petit contingent d’hommes venus pour aider les villageois à se développer avec les nouvelles techniques, proposer un meilleur enseignement etc. Mais moi, de nature méfiante, je pensais que quelque chose n’allait pas. Pourquoi la grande ville envoie des gens, alors que personne n’y était venu depuis une dizaine d’années, et que c’était à chaque fois aux habitants de se déplacer…

2-3 jours passèrent durant les quels ces hommes parlaient avec les différents habitants. Jusqu'à cette nuit, c’était la fête des moissons, les champs étaient à nus, la récolte était bonne, et nous pourrions passer un hiver agréable. L’alcool coulait à flot (un peu trop même par rapport aux années précédentes…), les gens étaient heureux. La fête prit fin, les villageois hébétés par l’alcool rentraient se coucher, j’en ai fait de même avec mon père (mère étant déjà rentré depuis un bon moment). En rentrant on a eu le droit à la scène de ménage comme chaque année, où mon père était trop saoul etc.

Je partis donc me coucher, il n’a pas fallu 5 minutes à père pour trouver le sommeil. Mais moi non, c’était une belle nuit étoilé, je décidais alors de m’accouder à la fenêtre pour rêvasser. Guldur, mon sanglier, était là en bas à tourné en rond, surement un peu agité par le bruit de la fête, enfin c’est ce que je croyais. C’est lorsque j’ai entendu un bruit de verre cassé au rez-de-chaussée que j’ai compris son agitation.

Je m’approchais alors doucement de la porte, je l’ouvre tout doucement et sors de la chambre. Plus je me rapproche des escaliers, et plus les sons d’en bas me parviennent facilement, j’entends alors une dispute :

« Parle vieil homme, où est le garçon ?

- Je ne vois pas de quoi vous parler.

- Allons nous savons qu’il est là, il serait dommage qu’il arrive quelque chose à ta femme pas vrai »

C’est alors que j’entrevue un homme tout de noir vêtu et cagoulé qui passait à côté des escaliers.

« Chef il est là haut !!

- Attrapez-le

- Cours mon enfant, sauve-toi.

- Tu vas te taire oui ! »

Affolés, je courus dans ma chambre, ferma la porte d’un coup sec, j’attrapais la chaise et la coinça sous la poignée, ça ne me laissai pas beaucoup de temps, mais j’ai pu prendre mon petit baluchon d’expédition, et je sautais par la fenêtre.

Je suis tombé en bas, j’ai la mal à la cheville, pas malin ça. J’entends un crac au-dessus, je regarde, et l’homme se penche à me fenêtre, il décide alors de faire le tour, me voyant blessé. Guldur se coucha pour que je me hisse sur son dos, et alors il courra en direction de la forêt, en passant il donna un bon coup de défenses à l’un des hommes postés devant ma maison.

On était dans la forêt, j’étais fatigué, triste, je ne comprenais pas ce qui s’était passé, Guldur ne fatiguait pas, il courut comme ça toute la nuit, enfin je pense, vu que je me suis assoupi sur son dos (pas très confortable d’ailleurs mais quand ya pas le choix)
A mon réveil, j’étais encore en forêt, Guldur dormait à mes côtés, il avait des égratignures de partout, surement dû au fait d’avoir couru pour me protéger. Je ne comprenais pas, qui était ces hommes, que me voulaient-ils ? Mais c’était trop dangereux d’y retourner. Par contre j’étais dans un endroit de la forêt que je ne connaissais pas.

Ma nature curieuse m’incita a exploré, on aurait dit que la verdure était plus luxuriante, l’harmonie régnait parmi les espèces d’animaux qui vivaient ici.
Je me sentais bien en sécurité, je continuais donc de marcher, quand alors je tombais sur un spectacle magnifique, j’étais ébahi. Une cascade d’un bleu coulait dans un lac brillant. Et au milieu du lac, dansait des être translucides, qui ne faisant qu’un avec l’eau. Je décidais de m’approcher un peu plus, quand une main se posa sur mon épaule.

Un homme d’âge avancé se tenait là derrière moi, il avait un faucon sur son épaule, ses habits étaient fait de bois, peaux etc:

« Ne t’approche pas trop petit, tu pourrais les mettre en colère.

- Mais qu’est-ce donc ? ces êtres, ils sont tous fait d’eau.

- Oui mon petit ce sont des élémentaires d’eau, tu es en train d’assister à une de leur cérémonie.

- Elémentaires ? Cérémonies ? je ne comprends pas.

- Je ne m’attendais pas à ce que tu comprennes Aendith. Tu es encore jeune et naïf.

- Vous…, mon nom…, mais d’où vous le connaissez ?

- Le vent me la murmuré, les animaux parlent de toi, tu es un ami de la nature, Mailikki croit en toi.

- Mais que…

- Chut et regarde. »

C’est alors qu’au milieu du lac et du cercle que formait les élémentaires, sortie une jeune femme d’une grande beauté, les élémentaires s’approchèrent d’elles, je ne voyais clairement ce qui se passait, mais ensuite les être d’eau disparurent et la femme sortit de l’eau et nous rejoignit:

« Maître, l’épreuve de l’eau est enfin terminée m’ont-ils dit, je suis enfin prête.

-Doucement mon enfant, tu seras prête quand il le faudra, tu as certes fini la communion des 4 éléments, mais la transformation requiert une grande sagesse et concentration.
-Je comprends (dit-elle d’un air dépité, elle me regarda) mais qui est-ce maître ? Est-ce celui dont le vent nous a murmuré le nom ? »

Je ne comprenais plus rien, elle aussi parlait de vent qui murmurait, elle avait l’air aussi de me connaître, mais que se passe-t-il nom de…
Alors que les deux personnes parlaient de moi entre elles comme si je n’étais pas là. Je décidais d’intervenir et de donner un coup de pied au vieux, pour le faire réagir.

Il se décida enfin à me parler et m’expliquer:

« Je me nomme Ythaën Grayik, druide de Mailikki, un des rares formateurs druide de la région, et voici l’une de mes apprentis, Nivella Sertine, une humaine a qui comme toi, la nature a fait confiance.
Tu te trouves en ce moment même dans un bosquet druidique, un lieu sacré, protégé du monde extérieur, seuls les druides connaissent les emplacements de ces endroits.

-Mais je ne suis pas druide, je ne sais même pas ce que c’est.

-Je le sais mon jeune enfant, mais ton ami le sanglier t’a conduis ici, ce n’est pas pour rien.
Et comme je te l’ai dit, les esprits du vent m’ont murmuré ton nom.
Cela signifie que tu as un lien fort avec la nature qui t’entoure, et tu es prêt à t’ouvrir à la voie de la sagesse des druides.

-Hein mais je n’ai rien demandé. J’ai juste fui des personnes qui m’en voulaient en abandonnant pour cela ma famille.

-Hélas je le sais, ces gens font partie d’un ordre de druide maléfique, ceux qui vénèrent Malar, la traqueur au sang noir. C’est un ordre de lycanthropes, des aberrations de la nature, ils se transforment car ils sont maudits, et non par leur volonté. Tu es ici pour devenir mon apprenti aussi, je vais t’apprendre le druidisme.
Mais sache que ce n’est pas un voyage de tout repos.

-Mais et votre apprentie là, Nivella machintruc…

- Elle est déjà formée aux rudiments, elle doit finir d’apprendre par elle-même. Je suis venue ici l’accompagné pour la cérémonie d’introduction aux élémentaires.
Mais je ne peux lui apprendre plus, elle doit continuer par elle-même. Le savoir druidique n’est pas écrit, chacun en a son interprétation, nous ne sommes là que pour apporter les bases.
Tu en connais déjà un peu toi-même, tu es ami d’un animal, tu connais la forêt qui t’entoure, c’est une bonne chose.
Mais il va falloir pousser ton enseignement plus loin encore.

- Maître, je m’en vais maintenant, je repars méditer avant d’aller rejoindre mes compagnons de route.
(Nivella me murmura quelque chose à l’oreille) Fais pas attention des fois il dit des trucs un peu bizarre, mais il est sympa.

- Alors Aendith, es-tu prêt à me suivre ?

-Oui je crois. »

C’est comme cela que je rencontrais les premiers druides, et aussi que je commençais ma formation, nous sommes retourné chercher Guldur et nous nous sommes mis en route, il fallait qu’il m’emmène auprès des druides des grands cercles pour mon intronisation

Partie 3 : Le voyage

Mon maître m’avait dit que le voyage serait long, mais je n’aurais jamais imaginé à ce point-là, même si c’était loin d’être une perte de temps, car j’apprenais beaucoup de choses avec lui.

Nous devions nous rendre en Haute-Forêt, du côté de la côte des épées, autant dire que le voyage n’allait pas être facile. D’autant plus qu’il y a le désert de l’Anauroch à traverser, et j’ai entendu dire que c’était un endroit qu’on préférait éviter.

Je m’attendais donc à devoir faire tout le tour, ce qui impliquerait bien 3 ou 4 mois de marche. Mais il m’annonça à ma surprise que l’ont traverserait ce désert, nous ne pouvons nous permettre de faire le tour avec des hommes à ma recherche. Plus vite nous serons arrivés, mieux ce sera.

Bien que certains druides vivent reclus et en ermite, mon maître avait l’air d’avoir de bonnes connaissances. Il fallait déjà traverser le Cormanthor pour rejoindre « les chutes de la dague » de là nous trouverions un ami à lui, un guide qui connait une piste sûre dans le désert de l’Anauroch.

Effectivement, en arrivant là-bas, il a fallu qu’on attende environ une semaine, autant vous dire que je n’étais pas très tranquille. Mais mon maître m’affirma qu’i n’y aurait pas de soucis à se faire, cet endroit étant connu de peu de gens, ou qu’alors ceux qui y passent repartent vite fait, ne trouvant rien d’intéressant là-bas.

Après avoir attendu 6 jours, un homme vêtu d’un simple habit de toile, portant un sac à dos et un bâton, nous aborda. Apparemment il était le guide qui allait nous faire traverser. Il nous expliqua quelques règles à suivre, enfin il m’expliqua, vu que je suis le seul à n’avoir jamais traversé ce désert encore. Nous devrions bien marcher derrière lui, obéir aux moindres de ces ordres etc.

Il nous avoua aussi que cette fois-ci ce serait plus long de traverser, qu’au lieu des 2 semaines habituelles, il en faudrait le double, car beaucoup de troupes patrouillent suite à une invasion, et apparemment les seigneurs locaux n’aiment pas les étrangers sur leurs terres. Et bien soit, ce n’est pas comme si j’avais réellement d’autres choix.

Ainsi il nous a fallu un mois pour traverser ce désert, entre la chaleur de la journée, le froid de la nuit, et les patrouilles embusquées dont notre guide se débarrassait à coup de pieds et de poings, pour enfin ressortir de l’autre côté. Il fallait maintenant rejoindre Eauforte afin de partir en forêt. Notre guide ne nous accompagna pas plus loin. Pas d’adieux de longue durée même si lui et mon maître avait l’air de bien se connaître.

Il nous fallu environ 1 semaine et demi pour arriver à Eauforte, une jolie petite ville en bordure de rivière et près de la forêt non intéressant. Nous décidions d’y rester un jour ou 2, vu que nous n’avion pris de repos depuis les chutes de la dague, ça ne faisait pas de mal.

Enfin nous entrions dans Haute-Forêt, il nous faudrait 3 jours à atteindre le cercle druidique pour lequel nous avons tant voyagé.
Et nous arrivions enfin à bon port.

Partie 4 : Intronisation et Apprentissage

Nous arrivions enfin dans le bosquet sacré tant attendu, connu sous le nom de Gand-Père Arbre

Apparemment mon arrivée était attendue, il y avait du monde ici. Mais pas que des druides, des gens de toutes races à fortes carrures maniant de grandes armes étaient disséminés tout autour du site.

Mon maître me dit que ce sont des barbares de la tribu d’Uthgardt, ils ont depuis longtemps un accord avec les elfes et les druides du coin. Je ne comprends pas trop de quel accord il veut parler, mais cela ne me regarde pas de toute façon.
Mon maître m’emmène plus loin dans le bosquet, j’entends des murmures de toute sortes autour de moi, mais il me dit de ne pas m’inquiéter, que tout se passera bien.

Plus je m’enfonce et plus je me rapproche d’un grand et vieil arbre, qui pourtant garde toute sa splendeur. Ythaën m’apprend qu’il représente Sylvanus, la plus grande divinité de la nature et que Mailikki, divinité à laquelle il est dévouée, travaillait avec lui.

Il me dit alors de continuer à avancer, que seul moi peux continuer, même mon sanglier doit rester là. Je passe alors sous un rideau de branches et de feuillages. Je me retrouve dans une petite allée menant vers une table de pierre où se tiennent quelques personnes.

« Heu, heu bonjour…

La personne au milieu des autres me dit :

-Bonjour Aendith, prenez place sur le promontoire, nous allons examiner votre cas.
Tout d’abord je me présente, Krillen CoupeVent, grand druide du cercle du vent.
Et voici les 3 archi-druides de ce cercle. Nous serons vos juges pour savoir si oui ou non vous pouvez devenir apprenti de ce cercle.

-Heu d’accord.

- N’aies pas peur (entendis-je en murmure)


(Moi)-Vous avez dit quelque chose ?

(lui)- non, pourquoi cela ?

(moi)- Car j’ai entendu un murmure, enfin ça fait déjà depuis longtemps que je les entends,
mais jamais je ne comprenais ce qu’ils me disaient. »

Après mes paroles, ils se mirent à discuter entre eux, je ne percevais que quelques mots, je ne les comprenais pas tous par contre, comme s’ils parlaient dans une autre langue. Je parvins tout de même à saisir des bribes de phrases

« grmbmlblrlr, entend le vent grmbmlblrlr compagnon animal grmbmlblrlr Malar grmbmlblrlr »

Suite à ce dernier nom entendu, le grand Druide se leva et se remit à me parler.

« Aendith, nous ne pouvons nier que vous êtes fortement attaché à la nature,
vous possédez un compagnon animal fidèle, vous n’avez apparemment pas de problème à vous repérer en forêt d’après Ythaën,
vous entendez murmurer le vent, par contre nous décelons en vous une instabilité à la canalisation de la magie, j’espère que ceci ne vous posera trop de problème par la suite. Et de plus l’ordre de Malar est à votre poursuite.
Même si tout cela est un peu rapide, nous ne pouvons faire autrement, si ces derniers mettaient la main sur vous, qui sait ce qui pourrait arriver.
Dorénavant, vous serez apprenti du druide Ythaën, et vous appartiendrez au cercle du vent. »

Les 4 druides se levèrent ensemble, la foudre tombait de toute part. Ils se rasseyaient.

« L'intronisation est terminée, votre apprentissage peut alors débuter. Tu suivras Ythaën, vous irez sur l’île d’Everneige, c'est son choix.
Je sais que c’est loin, mais il a raison. En allant là-bas il y a peu de chance que vous soyez poursuivis, et par la suite vous serez assez sage pour résister à leurs avances.
De plus nous n’avons personne de notre cercle dans ce secteur, cela sera la bonne occasion de savoir si l’équilibre est maintenu sur place.
Vous pouvez disposer»

Je ne comprenais toujours pas dans quoi je m’étais engagé mais ça avait l’air important, je retournais vers mon maître, officiel maintenant, et lui annonça la nouvelle. Il était enjoué que le haut-druide de son cercle suive son idée.

C’est ainsi que nous nous somme mis en route vers Everneige. Mais malheureusement, notre bateau essuya une tempête, j’ai été repêché et emmené à Port Embria. Mais aucunes traces de mon maître. Il faut que je le retrouve mais aussi que je continue mon entraînement.

C’est alors que débute mon aventure à Everneige.

(HRP: suite à venir, encore pas mal de choses en tête)