[RP]Le journal de Sidius

(Extrait du journal de Sidius de Mérinius)

Une arrivée en terre de glace…

Après un long périple qui me fit vomir mes tripes par-dessus-bord, nous accostâmes à Port Embria…

Saluant les joyeux lurons de marins, je débarque le ventre soulagé sur la terre ferme.

Embria est une région neigeuse et glaciale et je dois commencer ma nouvelle destinée dans une terre inhospitalière…

Cependant, elle regorge d’édifices qui semblent apporter une lueur chaleureuse aux habitants de la région.

Et quels habitants !

De mystérieuses personnes issues d’un genre idéal qui se complaisent à circuler en ville avec de stupides
animaux pour compagnons domestiques, c’est vraiment Pathétique !

J’ai également fait la rencontre de quelques bellâtres aux oreilles pointues,
ainsi que quelques commerçants en manque de clients…

Ayant l’art et la manière du raffinement, j’ai pu m’octroyer des renseignements utiles…

Comme localiser la noblesse située en terre voisine, plus exactement à Celestia.

Il me tarde de rejoindre cette ville pour pouvoir me racheter une existence des plus confortables…

C’est pourquoi je voyage de nouveau à dos d’une charrette appartenant à la guilde des transporteurs de la région,
sous une neige battante et un froid des plus glaciales.

Un retour à la source…

Arrivant à Celestia, les grandes bâtissent se dressèrent devant mes yeux…

Il me fallait reconnaitre la beauté de cette ville,
ou la douce chaleur avait pris le pas sur le froid manteau neigeux d’Embria.

Les habitants sont aimables…Bien que trop à mon gout.

A bien des moments j’avais envie de coller la pointe de mes souliers dans
le fion de tout ces coincées !

La naïveté, les fleurs, les …Erf ! J’ai la nausée !

Après être tombé sur une misérable en joie de vivre…

J’ai fait la rencontre de Dame Lenda, une commerçante espiègle et cul cul…
Bien que je dois lui reconnaitre un beau p’tit cul !

Elle est gentille cependant…
Une brave naïve à qui j’ai pu soutirer des renseignements d’une valeur inestimable !

A présent en sa charmante compagnie, nous nous retrouvons à dos d’une charrette
inconfortable de la guilde des transporteurs.

Erf ! Quand je pense que j’ai du payer son voyage…
Les gueuses n’ont plus de fierté de nos jours !

Quoiqu’ il en soit…

Nous arrivâmes quelques heures plus tard prêt de la forêt ancestrale,
et nous avons marchés quelques temps pour y rejoindre Port Embria.

Me voici de nouveau dans le froid et la neige, mais c’est pour la bonne cause…

Rencontrer le Baron Desdemonia…

Et inutile de dire, qu’il me tarde de faire sa connaissance.

Trouble d’ailes sur Embria...

Des évènements pathétiques sont venus pimenter cette journée de neige.

En effet, un gradé du Baron en manque de succès répondant au nom de
« Bastor » quelque chose…

C’est redressé comme un coq, pour s’en prendre à un certain « Markius »…

La cause du préjudice, c’est que le dit « Markius » jouit d’une paire d’aile
à son dos !

Quelques personnes assistèrent à cette scène déplorable auquel se livré
avec aisance le dit Sergent « Bastor »…

Celui-ci était bien décidé à lui rendre gorge !

Mais tout compte fait, j’avais beau essayé de les asticoter….

Ils n’ont pas réussi à s’entretuer !

Tout ce que j’ai récolté de la part de ce Sergent prétentieux,
c’est un recueil d’insultes envers ma noble personne.

J’ai tenté d’offrir mon aide au Sergent afin d’apporter un peut
d’intelligence à la Milice…

Mais il n’a pas voulu, me traitant avec de méprisables petites
réflexions ayant rapport à mon physique.

Pauvre de lui, s’il savait...

Traversant un peu plus tard le centre gelé d’Embria, j’ai pu
faire la rencontre de Dame

Allegra Di Mazini et d’une certaine « Violette » !

Toutes deux viennent des terres de Celestia…

Elles semblent jouir de relations fortes intéressantes pour
quelqu’un comme moi qui aspire à l’ambition et à la richesse.

Bien qu’elles soient quelque peu simplet…
Surtout « la Violette » qui semble muette au point de laisser
le vent s’exprimé à sa place…

Je me dois d’enorgueillir leurs personnes pour m’octroyer
leurs faveurs, qui ne pourront que me servir par la suite
des évènements.

Elles étaient accompagnées d’un certain Wahid !

Un brave vagabond sans le sous, qui se contente de sa condition
« d’être misérable » sans avoir de grandes ambitions pour y remédier…

Il m’a fait tellement pitié que j’ai lâché à contrecœurs quelques
100 pièces de ma bourse.

Au moins, ça lui permettra pendant quelques jours d’être au chaud pour
réfléchir à son existence des plus merdiques !

Plus tard, après avoir attendu longtemps une exécution qui fut au final
reportée à ma grande tristesse…

De retour d’une petite promenade pour calmer ma colère,
je tombe nez à nez avec une soi-disant garde qui tenta de me subtiliser
de l’argent à la hauteur d’un pont !

Pour la première fois depuis mon arrivé, j’ai vu quelqu’un d’intelligente
qui avait l’esprit d’entreprendre…

Hélas, la bougresse ne savait pas que j’étais d’une nature peut
impressionnable !

Me menant devant cet elfique livide et sans vie,
portant l’équipement de la milice…

Elle croyait m’affliger par ce spectacle morbide,
mais pour ma part j’en étais plutôt réjoui !

Il n’y a rien de plus beau et expressif que le visage d’un cadavre…

Plus les sévices sont grands et plus l’œuvre est belle !!!

Ignorant la dépouille putride de l’elfique…

Je me suis dirigé vers le manoir du Baron Desdemonia pour obtenir
une entrevue afin de parlementer de certaines choses qui me tenaient à cœur.

Globalement je dois avouer que le Baron m’a que peut convaincu
quant à sa capacité à commander et à diriger cette ville !

Il semble être partisan de ceux qui s’attachent aux fanfreluches plutôt
qu’à la profondeur des choses…

J’espère simplement qu’il prendra en considération ma requête,
histoire que les évènements évoluent d’une façon positive et …

Durable.

Froid d’une cage en terre de neige...


Partant d’un bon pied je me dirigeais vers le temple situé en plein centre d’Embria.

A ma grande horreur, une belle cérémonie s’y déroulée…

Et l’endoctrineur de matières grises, semblait attirer un maximum
de monde dans ses âneries gargantuesque.

J’avais bien quelques affaires à régler avec la prêtresse du temple !
Mais voyant cette réunion de fervent crétins, j’eu décidé de tourner les talons…

Asseyant mes nobles fesses sur ce banc misérable qui grinçait,
j’attendais en vain que le troupeau s’extirpe du temple…

Chose qui n’arriva point !

Un homme d’allure élégante passe à mes côtés et me fait une allusion
au fameux droit de passage concernant l’incident du pont,
un évènement dérangeant qui m’était arrivé la veille.

Celui-ci s’engouffre dans le temple d’un pas léger,
et j’eu décidé de le suivre pour le questionner à ce sujet !

Alors, bien que mal au ventre de devoir supporter autant de
conneries prononcées dans une seule phrase…

Je tentais de faire abstraction quant aux paroles du cul-bénit,
me concentrant uniquement à rejoindre cette silhouette élégante
qui fut le sujet de mon émoi.

Mais arrivé à sa hauteur, celui-ci change de place…
Je recommence…
Mais il rechange de place…
Je réessaye, mais il se dérobe encore…

Et le comble de tout cela !!!
C’est que l’autorité présente me somme de quitter les lieux !

Je tourne les talons avec légèreté puis je sors du temple
pour rejoindre ce banc de misère…

Il me fallait trouver quelque chose de plus subtile pour l’approcher !

J’eu donc décidé de boire une potion redant invisible, pour pouvoir
m’approcher assez prêt de lui.

Je rentre encore dans le temple supportant le gaspillage de salive
du prêtre, puis j’approche à pas feutré du dit sujet !

Mais hélas celui-ci pourvu d’oreilles fines,
me somme de sortir sur le champ…

Je ne me fis donc pas prier, de crainte d’être mis à nue
par l’autorité du temple.

Ainsi j’abandonnai l’idée de discutailler, pour remettre à plus tard
cette possibilité des plus certaines.

Prêt d’un abri ce trouvant à proximité du temple, j’apercevais la silhouette
d’un homme élancé et précieusement vêtue.

Celui-ci fuma sa pipe avec une douceur et un fatalisme renversant.

Je dois dire que ce fut une rencontre fort intéressante et riche sur
bien des plans.

Enfin quelqu’un qui semblait partage mes valeurs et ma vision des choses…

Voila une opportunité à saisir pour quelqu’un comme moi !

Après une entrevue fort profitable pour nous deux, dans une langue
qui nous est fort familière…

Nous nous quittâmes cordialement en laissant percevoir une complicité
certaine quant à la suite d’une coopération futur.

De retour au centre d’Embria, voyant toujours que le temple était occupé…

J’eu décidé d’aller faire affaire avec quelques commerçants et charlatans,
afin d’y trouver en guise de réponse la beauté des pièces sonnantes
et trébuchantes.

Me sentant légèrement irrité…
Je m’octroyais le plaisir d’aller faire un tour en forêt, histoire d’aller botter
le cul de quelques kobolds en soif de mourir !

Inutile de préciser que j’ai écrasé quelques trognes à l’aspect peut charitable !

En revenant vers la ville d’Embria, j’ai du me diriger vers l’auberge du port,
pour y nettoyer le sang séché qui recouvrait abondamment ma masse et mon morgenstern…
C’est fou comme ça jute une tête qui éclate !

Ressortant quelques heures plus tard, j’affronté de nouveau le froid et la neige
pour y rejoindre le temple et de tenter une nouvelle fois ma chance.

Fichtre ! Toujours quelques fanatiques personnes entrains de monopoliser le pôle
affairiste du temple !

Bien qu’essayant de forcer le passage d’un pas léger et mélodieux…

Une certaine Louve s’approche de moi avec l’expression et la gestuelle
d’une débile profonde couplé avec un naturel sauvage et légèrement
bestiale…

Il me faut avouer qu’elle avait l’air agressive et franchement peu enclin au civisme.

Fichtre ! Qu’elle fut donc ma stupeur de voir cette sauvageonne illettrée se transformer
en grosse boule de poils à canines pointues et tranchantes !

Allégra semblait être embarrassée par la profonde aliénation de son amie…
Puis elle me conseilla de rejoindre la sortie.

Et c’est ce que j’ai fait sans me faire prier !

Cependant à ma sortie je n’ai pas pu m’empêcher d’hurler vers ce temple :
« BANDE D’HERETIQUES !!! »

Une façon colérique maquant de subtilité certes…
Mais assez explicite pour signifier mon indignation envers les autorités qui
se complaisent à laisser entrer un hérétique dans un édifice qui se veut être sacré !

La garde alertée par le vacarme, s’exécuta à me mettre les fers autour des poignés
afin de me conduire comme un mal propre à la caserne de la ville.

La cause ?

Tapage en pleine ville…Et pseudo blasphème envers l’autorité d’un temple.

Toujours est-il que je fus reçu d’une façon peu aimable et délicate par le soldat
Eliana et le dit gradé Zach !

Insulte envers ma noble personne, un coup de poing dans la mâchoire…

Bref ! Une autorité agréable et tellement proche de ses citoyens.

*L’encre de ces lignes est fortement prononcée*
Il y a des histoires qui refroidissent…
Mais qui un beau jour se réchauffent avant même que les gens ne réalisent.
Une lame assassine, une fosse à piques, un accident tragique…
Ou des secours qui ne viennent jamais !
Tout est si vite arrivé…

Me voici en cellule pour vingt-quatre heures.

Inutile d’exprimer à quel point ma haine grandit envers l’autorité hérétique de cette ville.

*Sidius allongé sur la banquette observe la venue d’un rat qui renifle son soullier…
Lors de la libération du captif le garde aura une expression de dégout lorsqu’il verra
le rat complètement éclaté sur le sol de sa cellule.
Quant à Sidius, emmitouflé dans sa capuche il quittera la caserne les poings recouverts de sang…*

Action…Et rien !

Une réunion d’intérêt...
Pour au final, qu’un pauvre résultat sans intérêt !

Nous devons rebâtir sur quelque chose de concret…
Car il me tarde d’apprécier l’envergure du succès !

De retour à Embria quelque peu irrité je m’affairais
à la grande place en bonne compagnie.

Lorsqu’un barde jovial aux allures de coco, vient à faire
la courette à cette jeune damoiselle !

Ridicule spectacle d’un draguage foiré qui ne mène qu’à l’au revoir
pour avoir l’air moins con !

Celui-ci l’air pincé me toise de l’apparence…
Mais qu’il toise sa culotte, il se trouvera patate !

Bien plus tard, prêt des environs d’Embria…

Je croise louvette avec un petit gnome fort sympathique
même si l’on comprends rien à ce qu’il dit.

Plus tard, voici Louve qui nous rejoint…

Et alors que j’étais entrains de les caresser dans le sens du poil !

La louvette en chaleur s’agrippe à mon être comme une sauvageonne !

J’étais étonné et surpris par une telle violence gratuite que je me débattais
de toutes mes forces…

Et fort heureusement pour moi, j’extirpa la bougresse de mon être subliminale…
Pour la voir s’échouer sur la neige comme une cloche de meute !

C’est alors que je reculais avec le cœur battant…
Tout en sortant mon fléau prêt à lui broyer sa petite gueule !

Oh certes ! Elle doit être beaucoup plus forte que moi…
Mais comme dit le proverbe, « C’est l’intention qui compte ».

Louve dit à Louvette stop et Louvette a stoppée !

J’ai donc tourné les talons, mais il est clair que je n’oublierais pas cet affront…

Hypocrite moi ?

Oui c'est vrai.

C’est fou comme une liste peu s’agrandir rapidement !

Quoiqu’il en soit je ne rencontre pas que des débiles sur ma route…

J’eu le plaisir quelques heures auparavant, de faire la rencontre d’une pauvrette
serveuse de la taverne du port.

Nyma…Ou Nymmée je crois.

Celle-ci bien qu’étant une pauvre fille du port,
montre un certain attachement à son métier…

Elle semble courageuse et serviable…

De plus c’est une sacrée coquine qui ne semble
pas avoir froid au cul !

J’ai fait promesse de la revoir…
Histoire de parlementer un peu plus avec elle.

*Une tâche de bave est visible sur la page*

D’autres part, il me faut mettre à jour certains aspects
de sa personnalité, car il me semble bon d’essayer
d’approfondir en ce sens…

Mais pour le moment, qu’elle reste dans sa taverne de pouilleux…

J’ai d’autres chattes à fouetter !

Le sourire d’un plan…

A l’heure où j’écris ces quelques lignes, le sourire pointe à mes lèvres
tout en observant ce feu qui crépite…

Ma petite liste dans une main et le verre dans l’autre,
j’observe les flammes qui dansent au grès de mes sinistres pensées.

Un plan machiavélique semble sur le point de naitre apportant à mon
esprit la lueur d’une mélodie douce et lancinante…

Celui de se complaire dans un théâtre sombre ou le chaos sera la fève
et l’enthousiasme le glaive.

Qu’il est bon de parfaire l’art d’établir des plans de sorte à chambouler
le court des choses que l’on soupçonnerais statique.

Une mélodie légère et passionné que de brusquer les imbéciles…

Pauvres petits cancrelats qui n’attendent que mon soulier pour se faire écraser !

Je répandrais vos entrailles dans la neige et la glace,
pour l’erreur d’avoir osé souillé un jour ce manteau sublime qui est mon être…

Je contemplerais votre déchéance avec un plaisir profonds,
m’enivrant de votre souffrance comme jadis je pu le ressentir au fond
de ma chaire.

Je deviendrais l’auteur de vos émois jusqu’à ce que vous soyez réduits à l’état de larves !

Le destin me semble propice et je sens en moi l’exquise jouissance à parfaire mon jeu d’apparences
en faisant d’Embria une terre de feu et de conscience…

Pour emmener dans mon sillon de nombreuses et pathétiques existences.

*Sidius boit d’une traite son verre et jette sa liste au feu tout en riant aux éclats*

Une affaire neigeuse...

J’écrits ces mots en voyant cette neige tomber abondamment.

Celle-ci s’active à recouvrir cette terre de toutes corruptions...

C’est si beau et si chiant à la fois !

Je ne comprendrais jamais ces poètes de pacotilles qui passent leur temps à s’extasier
devant ce spectacle de non-existence.

Ils ne doivent vraiment avoir rien d’autres à foutre de leurs dix doigts !

Pour ma part, je ne m’accorde qu’un modeste repos…

J'ai bien trop de choses à faire pour me permettre de rester oisif.

Le changement, l’influence et les affaires n’attendent pas !

Ce soir, l’un de mes plans va s’exécuter…

Des sommes d’argents ont étaient dépensées,
mais le jeu en vaut bien la chandelle.

Reste à ce môme de ne point faillir !

Je sais payer gracieusement un travail pour que stratégiquement il soit bien fait !

Mais je sais aussi punir lorsque le travail est mal fait ou foirée…

Ce qui voudrait dire dans un langage moins riche,
que je lui écraserais sa petite gueule avec mon fléau s’il foire comme une merdaille !

Que je massacrerais sa famille, ses amis, son chien, son chat, et même son poisson rouge…
*une trace de bave est visible sur la feuille*

Je mettrais le feu à tout ce qu’il aime !!! *l’écriture est souillée et raturée*

Je trancherais sa tête pour l’empailler et la mettre au dessus de mes latrines pour
qu’il regarde ma lune à chaque fois que je chierais !

*Sidius se met à rire hystériquement et casse sa plume contre la table,
ses yeux reflétant la folie d’une bête sauvage…*

Un supplice, une voie...

Une soirée bien agitée ou des évènements sont venues entâcher
l’épanouissement d’un plan.

Tout cela à cause d’une pauvre fille d’auberge !

Enfin…

C’est ce que je croyais intimement, mais tout compte fait je me suis fourvoyé…
C’est fou comme un plan peu vite basculer pour vous revenir en pleine gueule !

Tout n’était que perfection et pourtant il n’a suffit que d’une trainée pour tout faire foirer !

Elle a l’étoile, ce qui m’empêche de la détruire…
Pauvre de moi que d’avoir rencontré cette tueuse de cause !

Me voici dans ce champ à observer la neige…
Je tente de me faire une raison.

Mais je dois reconnaitre que même avec l’odeur de sa peau en mes narines,
j’ai en moi un goût amer qui veut dire défaite.

Quelques personnes, des supplices à dos de glace…
Un fou de doc qui s’active à me causailler misères !

Voila le maigre labeur de mon travail !

Des efforts qui tombent au néant…

Mais l’esquisse d’un compromis voit le jour,
pour que la misère se drape de mystères…

Pacte d’alliance sous le froid de nos sens sous couvert d’une sentence.

Mais sentence qu’importe puisque j’en saisi le sens !

Apogée d’un esprit qui se ronge d’ambitions, à demain mon ami pour de braves horizons.

La richesse, le pouvoir, les catins et la mort…
Des parfums qui me targuent au plaisir des sens !

De mes pas je fais voile vers la ville des peines…
Pour purger à cette quête à forger mes conquêtes.

La jouissance d’être libre…

De retour à la ville d’Embria, mes pas firent une mauvaise rencontre…

Un garde bien avisé, vint à perturber le bon déroulement d’une conversation.

Après quelques élocutions pathétiques de nature chevaleresque,
celui-ci s’active comme un coq pour me mettre aux arrêts !

Devant belle de dame, l’âne use de ses frasques pour plonger à la toile
d’une bassesse de phrases…

Ayant un avantage de part la connivence, je me laisse appâter pour me mettre aux arrêts.

Le brave me passe les fers pour me conduire en laisse vers cet amat de pierres qui s’appelle caserne.

Quelques heures passent, et je tourne en cage…

Voila un soldat qui s’active vers moi, à m’ouvrir la porte pour me mettre dehors.

« Vous êtes libre ! »
« La plainte a était retirée »

C’est avec le sourire que je quitte la caserne…

Me voici enfin libre !

Je vais pouvoir m’activer à conclure cet accord, et faire de mon destin l’apogée d’un festin.

N’es-ce pas formidable de rester impuni, c’est une véritable source de jouissance…

Quant je pense à cette garce et à son joli petit cul que j’ai fortement troublé,
la bave me possède et j’inonde ce papier.

Un souvenir intarissable, que de revoir mon gros poisson se vider dans cette rivière bouillante…
Elle en voulait la garce, et même un nain n’aurait pas pu la défoncer autant !

Une grosse trace suspecte est visible

Enfin, maintenant que tout est rentré dans l’ordre…
Je vais pouvoir réfléchir sérieusement quant aux suites des évènements.

L’évènement d’une apogée…

Ce fut une grande journée…

Vaquant à mes pieuses occupations,
j’ai reconnu sur ma route cette femme se faisant appeler « Abi ».

Un nom peut commun, très facile à retenir puisqu’à l’origine il est structurellement pauvre…

Enfin quoiqu’il en soit, sa mère a du avoir le cerveau fatigué pour pondre une simplette pareille !

Elle n’a pas du se rendue compte qu’en attribuant à sa progéniture un nom aussi débile,
elle se rendrait coupable d’octroyer à sa fille le manteau du ridicule ?

Enfin…

Toujours est-il que ce n’est qu’une misérable bougresse sans aucune importance,
qui gesticule son popotin dans tous les sens pour prouver qu’elle existe.

Mais Il fut un temps ou bien des folles dans son genre sont passées du joli popotin au gros tas de centre !

Ahhh…Comme je suis nostalgique de ces belles années d’inquisition. *trace de bave*

Je me souviens de l'époque ou j’aimais me promener au milieu des corps calcinés,
inhalant à pleine narines cette odeur putride qui faisait battre mon cœur tant l’instant était jouissif !

*une trace blanche suspecte est visible*

Pour en revenir aux suites de cette journée, J’ai pu m’entretenir avec Dranor !
Une escapade au problème de la gueuse qui se fait grâce d’une bien belle victoire.

Car après un échange des plus fructueux…
Il s’avère que j’ai suffisamment de cartes en mains pour m’engager dans les affaires.

La route est longue, mais l’ambition est présente !

Stratégies et folies…

Le trouble s’active autour de moi…
Fichtre ! Que ces gens sont stupides de penser que Nymée soit une sainte.

Cette manipulatrice d’esprits finira bien par tomber…
Tôt ou tard elle sera prise à son propre jeu.

La chance tourne ! *trace de bave visible*

Comme elle tourne d’ailleurs pour moi.

Après quelques excès de brutalités envers ma personne,
J’ai compris qu’il me fallait percer l’abcès concernant la relation conflictuelle
avec la milice.

Après tout ce sont les manigances de cette folle qui font que ma réputation souffre
dans cette ville…

Moi qui ne cherche qu’à me mettre aux affaires pour le bien de cette ville.
*trace de bave visible*

Je vais donc de ce pas œuvré en ce sens,
car après tout je ne suis pas ces ratés de criminels des bas quartiers !

Il est bien regrettable que les gens de cette ville ne respectent en rien l’étiquette…

Quoiqu’il en soit, c’est au tailleur de la ville que je commande une tunique sur mesure…
Afin de préparer une entrevue prochaine avec la milice pour y mettre cartes sur table.

Pour le moment, j’ai mis des choses au clair avec cette brute de milicien !

Il faut repartir sur de bonnes bases, pour que nous arrivions à coopérer pour la
bonne prospérité de cette ville…

Je ne cherche pas à jouer les gros durs à gros muscles de blaireau !

Je recherche les ficelles du développement durable.

Ce soir, en pleine conversation intéressante avec le milicien…
Deux curieux surgissent du paravent !

Scène pathétique d’une incorrection de vie, qui déboule sur un litige ou la
trahison existe !

Plus qu’un âne se trouve sous la lame…
Pris au piège d’une pauvre mascarade.

Le plaignant n’y trouve recourt que dans la menace
d’un déballage d’intérêts devant l’autorité.

Trois contre lui…Il en savait trop !
L’enjeu était trop grand pour ce brave milicien et moi-même !

C’est avec les armes qu’il fut entaillé,
le finissant au fléau pour éclater sa tête.

Pathétique vermine, fouineur de bonnes affaires…
Tu n’as que le dard piquant de ta curiosité malsaine !

Qu’il est beau de voir un milicien s’activer de sa hache à protéger son toit !
Il n’a pas rechigné pour se mettre au secret…

Fanfreluches d’une morale qui tombe à l’oublie,
qu’elle subtile mélange d’hypocrisie et d’irraison.

Un milicien que j’apprécie de ce fait certains…
Car les pièces comptent bien plus, qu’une morale à compter les cierges !

Belle connivence dont mon cœur se vante…
Apogée d’un destin, qui deviendra festin !

L'étreinte se fait plus grande,
et ma robe s'octroie l'apanache d'estoiles.

Mon projet se dessine et l'esquisse m'illumine.

[Xp à demander ! =)]

La naissance d’une famille…

J’observe ce feu qui crépite et s’active dans cette cheminée,
exactement comme l’essence même de mon esprit.

Je suis en perpétuel questionnement,
et j’avoue prendre plaisir à concevoir l’évolution quant à la suite des évènements.

D’ailleurs, tout se met en place petite à petit.

La famille s’agrandit et les sujets s’activent à la besogne,
pour préparer l’avènement de l’organisation…

Quant à ma réputation elle s’améliore grandement,
car j’ai su adopter une tactique implacable !

Elle consiste à fermer sa gueule pour laisser transparaitre l’intelligence au travers d’un filtre qu’on appelle « La ruse »…

Qu’il est bon de danser au milieu des ficelles.

Comme faire chanter quelques gueux ou encore fleurir les tombes du cimetière d’Embria…

*trace de bave*

Ne suis-je pas bon Prince ? Une bien belle ironie n’es-ce pas ?

Poser une rose sur chaque tombe…

Aux yeux des habitants et du fossoyeur je passe pour un sentimentale…
Et peut-être même un Saint !

Et bien qu’au fonds de moi je pleure d’avoir dépensé autant de pièces pour fleurir des tombes sous lesquelles
se trouve des corps bouffés par les vers, je vois en cela une tactique pour me rendre plus sympathique aux
yeux des p’tit gens de cette ville...

Après tout ce n’est pas étonnant que les sentiments ici prédominent…
Vu que la ville d’Embria abrite en son sein nombre de bardes dont l’esprit
se trouve être en levrette féérique !

Qu’il est bon de jouir de la niaiserie populaire…

Il fut un jadis où les coups me furent offerts…
Mais sous l’être se trouve l’étincelle et le tout s’écartèle pour offrir l’éphémère
A ces êtres bien trop fiers.

Les coups seront rendus et les mots deviendront maux…*grosse tâche de bave et écriture prononcée*

Subtile dans mes choix j’offrirais les émois…
Pour terrer à la hâte la grande gueule des braves !

Je suis un homme d’affaire qui œuvre en cette ville…
Et moi et mon ordre, nous y règneront en maître.

Du noir émerge la main d’un rêve, la main devient noir et le rêve devient terre…
Et la terre n’est autre que cette chère Embria !

Poésie d’un rêve…

Bien que la nuit n’est point achevée, J’ai fais un rêve…
Je me revoyais dans mon enfance entrains d’écraser les fourmis avec mon pouce !

Quels souvenirs intarissables de me revoir petit, entrains d’aplatir ces petites créatures avec plaisir et légèretée…

Les petits craquements sur ma peau si sensible à l’époque…
Me procurèrent moult jouissances !

D’ailleurs à l’adolescence j’en avais même tâché mon froc…

Que de souvenirs dans la profondeur d’un esprit aussi grand et magnifique que le miens !

En ce moment, je me surprends à observer la neige qui s’agglutine sur le montant de la fenêtre de cette
pathétique auberge située non loin de cette taverne d’ivrognes…

Deviendrais-je poète ?

La charmante Deville madame de la ville, n’est pas si moche…
Je trouvais à mon arrivé qu’elle avait la trogne aussi desséchée qu’une poule crevée en plein soleil.

Mais après mûres réflexions et au vu de son offre qui m’assura la gratuité
d’une nuit au sein de sa pension…

Je dois reconnaitre qu’elle a certaines qualités, même s’il est évident que je ne jouirais jamais
sur son flasque ventre, elle a au moins le mérite de mettre en extase le fond de ma bourse !

Car après tout, je n’ai pas que cela à payer !
Il se trouve que j’ai des projets qui requièrent d’importants financements.

Je me dois de parfaire mon génie idyllique qui consiste à créer pour développer cette ville,
tout en assurant la croissance de mon organisation et l’éjaculation de mes capitaux…

Déjà tout petit j’avais l’esprit d’entreprendre…

Ben oui !!!

J’étais responsable de la calvitie de plusieurs gamins du village qui s’étaient moqué de moi !

J’avais redoublé d’ingéniosité pour les endormir chimiquement afin de leur raser le cuir avec
la hache du bûcheron !

Mais bien entendu celle-ci fut trop lourde et un jour par mégarde et faiblesse musculaire
j’ai fendu la tête d’un mioche en deux !

Inutile de dire qu’à voir sa petite cervelle gélatineuse pendouiller sur la lame de la hache,
J’étais conforté dans l’idée qu’il était encore plus con en vrai que dans mes songes…

Peut traumatiser du fait d’avoir annihilé l’existence d’un crétin,
j’étais surtout préoccupé à justifier la nature du méfait !

J’ai donc avec ingéniosité et talents, fais courir la rumeur selon laquelle le bûcheron du village
adoré manger la cervelle des enfants…

Car selon lui il deviendrait plus intelligent !

Les autorités furent saisies d’horreur à la découverte du petit corps…

Et bien entendu malgré les pauvres justifications foireuses d’un bûcheron déficient sur le plan intellectuel,
celui-ci fut considéré comme étant le coupable du meurtre et fut condamné à mort !

Il fut écartelé en pleine place du marché, puis démembré…

Inutile de dire que c’était un spectacle réjouissant !
L’entendre hurler comme une truie me remplissait de bonheur…

J’avais placé ce souvenir tout au fond de ma mémoire et quelque fois le soir
mon plaisir était de tripoter l’asticot tout en repensant à ce fameux spectacle !

*tâche blanchâtre et suspecte*

J’aurais pu être poète ?
Mais serais-je vraiment adepte des vives couleurs de la vie ?

Assurément non !
Puisqu’en ce qui me concerne, je préfère le contraste et la mise en relief…

Ainsi mes couleurs seraient à la chavire entre le blanc et le noir.
Et pour peu que la toile soit ajustée au plus fade, j’ajouterais à ce miel le panache du rouge.

Le rouge…
Couleur d’ivresse pour les caresses, un peu de goût au fonds des verres…
Sève des corps qui s’écartèlent offrant le jus à mes chimères.

La neige ne tombe plus, le silence est à la nuit ce que la nuit est à mes songes…
Et de ma main la nuit est belle car elle se teinte d’un noir de règne.

*Sidius referme l’ouvrage et s’allonge dans son lit tout en riant à chaudes larmes…*

L’ivresse des mots…

Nuance des verbes, farandole de moult mots qui plongent mes maux au trémolo…
Souffrance des songes à l’oraison, désespérance en la raison.

Un preux refrain de l’irraison qui porte la sève en compassion,
Tristesse enclin de belles passions qui s’abandonnent à l’unisson…

Gestuelle sinistre d’un vil corbeau, portant au bec l’ivresse d’un son…
Somptueux volage de part les âges ou il surplombe le poids des âmes.

Histoire de fables bien trop fades,
Echarneur de nombreuses chaires ou la disgrâce est une orfèvre…
Œuvre d’un tableau non tributaire, d’une morale trop terre à terre.

*grosse trace de bave séchée*

Danse féérique sur champs de ruines ou fées tragiques nuisent à la rime.

*écriture prononcée*

Quelques sous à sous-esprits pour contribuer à leurs soucis…
Piège fragile que la piécette qui offre le fruit à la pauvresse.

Pourvoyeuse d’âmes à la coudée qui porte une trace à la trainée,
le trèfle née d’une non lignée, offrant la ruine d’une destinée.

Qu’il est bon d’influencer les mouvances populaires pour satisfaire
mes plans en fièvres…

Petite ville sous château de carte d’une baronnie de l’ironie…
belle courbette à tous ces bêtes, pour y saluer mon être en berne !

Cruelle soif d’une grande gloire que l’on pétrie d’une main noire...
Les fondations de toutes les frasques, pour y compter toutes mes parts.

Poésie d’une balade…

Comme il est bon d’avoir sa propre organisation…

C’est une véritable jouissance que de voir ses propres projets prendre forme
par le dynamisme des membres qui forment une grande et belle famille.

Je suis le patriarche qui insuffle le courant directeur pour le bon
développement des affaires… *trace de bave*

Mon esprit s’agite, et c’est toute la famille qui s’active !

Voulant m’octroyer une partie de détente en allant me réchauffer
dans l’eau chaude des thermes…

J’eus la mauvaise rencontre de croiser les pas d’un pauvre milicien
en manque d’activité.

Un certains Eorl d'après les dires de Darkan...

Celui-ci semblait être en léthargie profonde, il était debout en face de cette fontaine
qui se trouve être au milieu de la ville…

C’est fou comme une simple fontaine peu rendre simplet !

Quant ce n’est pas des rêveuses qui jettent des pièces pour attendre un sourire de leur divinitée,
C’est des tâches de fions de poètes ou encore des miliciens idiots qui n’ont rien d’autre à foutre
que de perdre leur temps devant de l’eau qui coule !

Fort heureusement que dans la milice, certains sont assez intelligent pour
comprendre qu’il en va de leurs intérêts d’être aimable et souriant…

M’enfin l’absurdité fut en tout temps et ceux dans tous les métiers.

Bande de cancrelats à troue d’cul en putréfaction ! *écriture gribouillée*

Parfois je m’évade à mes rêves en imaginant comment ils couineraient…
Gesticulant comme des larves en manque de rythme au milieu des flames ! *trace d'encre*

Mais bon…

Je me dois de faire preuve de civisme…*trace de morve*

Après tout, seules les affaires comptent !

Un entrainement des plus enrichissants…

C’est sous une tombée de neige qu’après une pathétique entrevue
foirée, nous décidâmes moi et mes braves de partir à l’entrainement…

Nos pas prirent la direction du cimetière putride et fétide de Lomidar.

Après avoir nettoyé l’endroit de quelques rats sanguinaires,
nous avons du combattr..Enfin mes braves ont du combattre contre
d’infâmes morts vivants et quelques poignées de squelettes…

Pour ma part, je me suis rarement impliqué dans les combats car j’avoue
avoir été présent à titre d’observateur.

Et j’ai observé !

Y’a pas mal de mes braves qui furent braves, mais ils ont mangés de temps
à autres quelques coups de lames…

Je me devais de les motiver !
« CA fait mal hein ? ca doit être douloureux non ? » *trace de bave*

Je sais, c’est peu mais on fait avec ce qu’on peu !

En tout cas, ils ont fait preuves de grandes prouesses techniques…

Ce fut donc une soirée qui s’acheva avec joie et bonne humeur !
Et j’ai ramené en souvenir le crâne d’un squelette que j’ai déboité.

Pourquoi ?

Mais parce qu’il me faut un martyr de temps à autre pour passer mes nerfs !

Celui-ci est placé sur mon bureau, alors il me suffit de le frapper en cas de
mauvaises nouvelles pour m’offrir un calme intérieur.

Pour revenir à l’entrainement nous avons fait la rencontre sur les lieux,
d’un mystérieux elfe noir qui semble techniquement puissant et agile de ses lames…

J’ai d’ailleurs pris le soin de lui demander une entrevue…
Une rencontre qu’il ne manquera pas d’honorer.

(Sidius se met à rire et frappe du poing sur le crâne)

Une somptueuse laideur…

D’une main légère, elle effleure ma disgrâce…
Cette femme est aveugle ? Non, elle est voyante.

C’est toujours flatteur d’être admiré par une belle plante
même si je sais que je suis d’une laideur à rendre beau tout les lépreux du coin !

Elle se trouve prêt de moi, essuyant ma bave avec son mouchoir en dentelle…
Puis, d’un geste de grâce elle rabaisse ma capuche pour m’enlever habilement
les crottes de mes yeux.

Adorable créature n’es-ce pas ?
Elle est la belle…Et moi la bête ! *trace de bave*

Sourire de façade enlève donc mon malaise à lorgner ma disgrâce tout au fonds de la plèbe…
Farandole de verbes épouse donc ma sève, pour que mes maux y trouvent la réponse d’un mot.
*trace humide*

Femme d’esprit et de bonne éducation, elle ne manquera pas d’être utile à « la famille ».

Je suis cette main et eux sont mes doigts, et dans le noir nous travaillons…

Une main ne peut se soustraire de ses doigts,
tout comme les doigts qui ne peuvent s’enfuir de la main sans ternir son aisance...

Les liens sont puissants et la main forme un tout ! *écriture prononcée*

Ainsi, l’on entre dans la famille…
Mais lorsque l’on épouse ma main, l’on ne peut en divorcer.

Douce mélodie qu’une grande famille ou tous les membres vibrent en sons,
et ceux à l’unisson…

Chaque mouvement se fait cordes et ils s’accordent à symphonie.
Une symphonie de l’ironie ou les ballets s’octroient les grâces d’un nouvel âge…

Flatteur d’humeurs et de désirs, j’irais cueillir les gains du vice !

Tiens…Un escargot qui s’avance sur le bord de la fenêtre.
Il n’avançait guère vite, j’ai donc achevé sa pathétique existence !

Il ne m’a suffit que d’un doigt…
Elle n’est pas belle cette puissance ?

*Sidius donne une claque au crâne posé sur son bureau, et il se met à rire à gorge déployée*

Une bien remplie…Journée aussi !

Tout commença par un entrainement intensif situé dans les alentours d’Embria
et plus précisément dans la caverne des gobelins.

J’étais en compagnie de la Kathryna…*trace de bave*

L’observant à distance combattre contre les gobelins montés sur de vils araignées...
J’eus le privilège de jouir de ce tableau féérique ou les couleurs principales furent
teintées de sang !

J’étais tapi dans l’ombre de ses pas et je l’encourageais à la hâte pour susciter en
elle un quelconque émoi, qui d’ailleurs ne vint pas…

« Dépêche toi donc feignante on ne va pas y passer la journée !!! » hurlais-je pour
la déstabiliser.

Elle épouse mes disgrâces avec tant de grâce.
Comme ces branches d’arbres qui épousent l’assaut des vents,
elle se plie à mes cries sans de vaines résistances.

Kathryna s’active donc à faire couler le sang de ces petits êtres pathétiques…
Pour ce faire elle use de techniques et tactiques en tous genres.

Elle charge à la grande cuvette pour attirer les ânes vers l’étroitesse
des couloirs de cette grotte.

Puis elle s’acharne à les prendre de front les uns après les autres,
évitant ainsi le piège terrible de l’encerclement.

Douce mélodie que le son des lames qui percent et coupent les chaires fétides !

Oh tiens ! Une petite tête de gobelin qui roule vers moi...
Je lui adresse un petit coucou de la main mais je sais que cela est inutile !

J’essai simplement d’être aimable envers un mourant…

Pfff ! Pensez-vous donc !
J’en ai strictement rien à foutre !
C’est pour me foutre de sa tronche de plouc !

Toujours est-il que cette charmante Kathryna se débrouillait à merveille.

J’ai donc pris le soin après sa belle démonstration de lui apprendre une chose importante.

"Ne jamais relâcher son attention !"

En effet, bien qu’elle ne s’y attendait pas…
Je l’ai frappé lourdement en pleine tête avec mon lourd fléau ! *trace de bave*

Elle c’est aplatit aussi vite qu’une merde qui s’échouerait d’un trou du cul en fièvre !

La voyant la tête limite éclatée baignant dans son jus, j’approchais ma bouche de son
oreille pour lui compter fleurette de cette triste mésaventure.

Mais sentant que son souffle allait être aux portes de l’abandon,
J’ai usé d’un parchemin magique pour restituer souffle de vie à sa misérable
enveloppe bafouée et par la même occasion lui reconstituer son visage de poupée.

La remettant debout, elle mesure l’étendu de son enseignement…
L’entrainement allait donc pouvoir se poursuivre dans les profondeurs de la grotte.

Et cette fois-ci j’en étais !

Faisant siffler les lourdes chaines de mon fléau j’éclatais quelques trognes de gobelins…
La plupart se trouvèrent écrasés contre les parois de la grotte, tandis que d’autres firent
corps avec le sol écrasé sous le poids de l’arme.

Mais les choses devinrent plus engagées et de nombreux gobelins arrivèrent en renfort…
Les encerclements furent plus fréquents.

Il fut donc préférable d’interrompre l’entrainement…
Et puis, comme l’on dit après l’effort le réconfort !

De retour à Embria après une séance de détente aux thermes et une brève réunion,
Moi et cette chère Kathryna partîmes en direction de la pension de madame Deville.

Assis devant un feu des plus crépitant, j’étais captivé par le raffinement de ses formes
qu’elle savait parfaitement mettre en avant.

J’étais intrigué de la voir préparer le thé avec autant d’application.

C’était fascinant !

Mais le pire dans tous cela c’est que même la capuche baissée,
elle n’était pas effrayée ou dégoutée par ma profonde laideur !

Son excès de charme et de douceur,
s’en était de trop pour mon bas ventre en émoi…

J’avais le gourdin dressé et il cherchait la chaleur d’une niche !

C’est donc avec tact que j’entrevois la brèche qui la faite s’ouvrir à moi…
J’ai donc décidé de prendre les choses en mains, avec amour et civisme !

Je l’ai donc saisie par le cou avec ma main et je l’ai dirigée au pied du lit,
puis marquant une halte j’ai offert à son visage mon magnifique front
en envoyant un coup de boule magistrale bien placé en pleine arête nasale !

S’écroulant inconsciente de plaisir, je la saisie donc par les cheveux *trace de bave*
et je la traine comme un filet de pêche contre le mur de la chambre.

Abaissant mon fute et redressant sa tête inconsciente j’en profite pour
lui ouvrir la bouche avec l’aide de mes doigts, pour lui faire gouter la marchandise !

A chaque coup de hanche sa tête cognait contre le mur
tellement j’y mettais du cœur à l’ouvrage... *écriture prononcée*

La tirant par les cheveux, je la propulse sur le lit après l’avoir mise à nue
et je la réveille en douceur.

Des bisous bien baveux, et des caresses à son corps…
Une fois réveillée, nous avons fait l’amour avec passion. *trace de bave*

Puis...Nous l’avons refais !

A califourchon sur le fauteuil en face d'un bon feu de cheminée… *grosse tâche suspecte*

C’était si bon ! J’ai encore en mes songes l’odeur de sa peau.

J’avoue que quelque chose en elle m’a touché…

Oui, je crois bien que c’est la première fois que j’eus senti battre mon cœur aussi fort !
Cette femme me fascine, c'est une certitude.

(Sidius pose sa plume et s’exclame : « Tiens ! J’ai encore un poil entre les dents ! »)

Un déplacement d’affaire…

Les choses commencent à prendre forme…
Me mouvant aux paysages à dos d’une charrette je contemple la sève
des terres qui se dressent.

L’esprit en déroute je me languis du séjour, à parfaire mes sens
Pour l’essence de mes rêves.

Les affaires m’appellent au-delà de ma terre pour offrir à mes plans
les desseins d’une conquête.

Par collines et sentiers je rejoins les mystères ou se dressent les mythes
qui s’octroient les légendes…

En l’ouvrage ils possèdent les faveurs de bravoures pour pousser à l’assaut
des murailles interdites…

Bien des braves s’y risquent en perdant leurs emblèmes et trépassent à poussière
en des terres de fièvres. *trace de bave*

Mais mon cas n’est pas brave puisqu’il n’est que calcul dont les contes ne possèdent
les vertus des rouages.

Je m’engouffre à ces gouffres pour m’offrir le goût,
d’un apogée de plans qui réclament le talent…

Il n’y a de succès que dans les calculs, le hasard trop fragile est notion de faiblesse !
*écriture prononcées*

Comme l’araignée qui tisse sa toile, elle s’acharne à trouver l’équilibre…
L’équilibre d’un tout pour avancer sans doute.

La puissance ambitieuse d’une toile sans fonds ou les couleurs s’activent à offrir les tons.

Quelques échanges, compromis, et le tour en est joué !

C’est un vaste échiquier ou les pions s’y annoncent…
Une tactique de fond ou les fonds sont des Rois.

Quelques poignées de mains je retourne à charrette,
Epouser à mon rêve un portrait de mystère.

Quelques souvenirs m’appellent à sentir l’arôme d’un parfum de violettes
ou les graines se sèment.

A l’idée d’en revoir les esquisses du miel,
mes narines se dressent et la fièvre me possède.

*grosse tâche de bave*

Une objectivité d’objectifs…

Faisant une halte le long d’un sentier,
Je suis allée à la rencontre d’un arbre pour y soulager ma vessie.

La neige tombait de plus belle sur la hauteur des plateaux,
Il me fallait remonter sur cette charrette tape cul pour
continuer ce voyage vers Embria.

Le conducteur de la charrette était aussi réactif qu’une tortue en émoi,
Il me fallait donc m’y prendre à l’avance pour lui donner de nouvelles
directives…

En effet, il me fallait gagner du temps…
J’étais encore loin d’Embria et mes affaires ne pouvaient attendre
plus longuement.

J’eus donc décidé de couper à travers champs sous
le regard dubitatif de ce crétin de cochet !

Dévastant quelques plantations et offrant à la terre l’empreinte de
ma hâte, la charrette manqua de s’embourber et ceux à plusieurs reprises…

Mais par excès d’ardeur, elle finit par rejoindre le sentier pour y continuer son périple
sous les jurons de quelques bouseux qui s’égosillent.

J’eus pitié de ces culs sales, ainsi j’ai pris soin de laisser à mon passage
quelques pièces d’or en vidant l’une de mes bourses…

C’était amusant d’apercevoir aux loin ces gueux se frapper entre eux
pour ramasser les quelques pièces qu’ils trouvaient en terre !

L’instant fut jouissif ! *grosse trace de bave*

Après m’avoir délecté de cette belle et pathétique scène…
Qui aurait pu d’ailleurs porter au théâtre le nom de « Comédie humaine »,
j’en revenais à mes plans que j’effeuillais avec soin pour remettre de l’ordre dans mes idées.

Tout est parfaitement clair et il en va de soi que l’organisation s’épanouie de jours en jours.

Bien qu’ayant pris les dispositions nécessaires pour les projets à réaliser,
il me reste certains points à éclaircir pour établir durablement la famille.

Je dois d’ailleurs dans les prochains jours, obtenir certains résultats quant aux missives
parfumées de violettes que j’eus reçu ce matin à l’aube par l’arrivée d’un corbeau à mon épaule.

J’ai grande hâte de regagner Embria, car il me reste tant de choses à faire !